Asdalf Valeth s'installa à sa table déja habituelle. Il y avait trop de monde dans ce café. Ca l'irritait. TOUT l'irritait aujourd'hui. Il ressentait le Manque.
Il sentit ses doigts se crisper, puis tapoter dans le vide. On l'avait prévenu que ça serait dur. Mais il se croyait tout de même capable de tenir. Du moins plus de deux jours.
Ses ongles attaquaient le simili-plastique, la nervosité s'installait en lui comme la corruption dans une démocratie naissante d'Amérique du Sud.
Il ne pouvait plus tenir maintenant.
Il lui fallait un PC.
Asdalf se dirigea d'un pas ferme vers la salle de communication.