Rps délires

Vous êtes à cours d'idée pour votre perso ? vous êtes tendu ? fatigué ? votre chien s'est jeté par la fênetre et vos enfants sniffent du plastique pendant que votre femme se tape le facteur ?
Posez ce revolver qui n'était de toute facon pas chargé (les balles sont dans le deuxieme tiroir du buffet du salon si tu préfère tout de même cette option)
Et venez écrire ou lire un rp débile/amusant/décalé/naze/délire....

Pas de lien obligatoire avec le Shuttle mais je demande a ce que SEULEMENT les rps y soient poster, on va en discuter sur un sujet annexe.



Voila.

Je commence tout de suite par les jeunes rebelles des citée francaises puis par un léger différent entre deux joueurs dans le farwest.


C'est un exemple de ce que j'avait déja posté pour le trip donc c loin d'être parfait si vous les trouvez naze sachez que je vous entourbe (cf.zali radio suicide je sai plus combien)

Les multirécidivistes de fleury

Le passé violent de ces jeunes repris de justice dans leur cité HLM dans laquelle la loi de la jungle s'applique plus que nulle part ailleurs.
L'alcool, la drogue, le viol et le meutre y sont les valeurs maitresses.
Voici un passage de leur vie chaotique:


Jean-Phillipe parle à Charle-Henry dans sa chambre miteuse 37 Boulevard Malsherbes.

Ouai là ! Va y, hier on a renversé des poubelles à la sortire du fuckin' blue boy, ouai, est trop des pur' rebelles.
Et serieux ce serait trop frais qu'on se sappe en 100% diesel demain, celui qui a pour le moins cher de fringue sur lui on lui lance des boulettes de papier, oueee chui trop fort, comment j'ai des idées aussi puissantes !
Tu trouve pas Charles-Henry ?

Putain !!!!!! Fait chier bordel , mes parents sont trop cons, zon envoyé ma veste kalvin klein chez le teinturier ce matin, chui sur qu'ils savaient que je voulai la mettre pour la fête chez sof ce soir ..... Bande de vieux cons, veulent m'obliger a mettre du dior, pour que je sois dépareillé avec les mocassins Desmazières que Camille m'a offert pour la soirée. On s'était prévu une entrée déguisée en gueux ! Moi en emmaüs et lui en Dechatlon arf arf arf arf, est drole non ?

-Ouai hun hun hun .... Pour la veste t'a qu'a mettre la Valentino qu'on a acheté hier en allant chercher la tize pour la teuf d'alex...

-Och ! tu crain grave a mort oit ! T'est tebe ou quoi moche ? Jvai pas mettre une veste comme ca pour une soirée elle coute même pas 800 euros tu veux que je me fasse lyncher c'est ca ?
Mon va-y elle est ou cte putain de carte bleue...
Ah ! La voila, j'espère que mon connard de darron a remis de la maille dessus hier j'avait plus que 2000 euros.

-Ca crain.

-Ouai, bon je trace chez Kalvin Klein en acheter une. Choppe moi les clefs de la porshe du vieux con, elles sont dans le vide poche en ivoire dans le hall d'entrée, gaffe que cet idiot de majordome te voit pas, c'est une vraie balance, pire qu'une collabo avec Biskmark et ses connards de nazi pendant la première guerre mondiale.
Va-y promis je vai pa me faire chier pour m'habiller pour aller voir les pauvres qu'on appelle vendeurs chez K.Klein....



Après s'etre habillé honteusement ayant pour moins de 10 000 euros de vêtements sur lui, il rejoignit Charles Henry dans le garage ...
a suivre ......

(non je déconne )

La règle du RP est et reste de ne jouer que son personnage, donc ne pas faire parler ni faire des choses aux autres persos sans que son joueur ne l'ait accepté.
Sinon cela viverait très vite au rp maternelle :




le joueur de John

John entra dans la salle et vit que bob y était toujours, il mit les mains a sa ceinture et avanca jusqu'a lui comme un shériff aurait pu le faire en inspectant sa ville à présent débarassée de toute vermine exeptée celle qui se trouve devant lui et compte bien remettre dans le droit chemin les pieds devants. Il s'arreta à un mètre de lui, le fixa et alluma un gros cigare, il en pri une grande bouffée et la souffla au visage de Bob qui exprima un sentiment de dégout. Voyant la réaction peu virile de son ennemi il lui dit droit dans les yeux :

Eh connard, je t'ai déja dit que ce saloon est pas fait pour les pds ! Les fiottes comme toi on en veut pas par chez nous. Même ma soeur tient mieux l'alcool que toi. Regarde toi ! Qui dans cette ville à part toi achète des blousons de cuir rose ? Personne, tu est un moins que rien! Je sai pour l'armée, on m'a appri ta désertion de l'armée nordiste, aide de camps était un poste bien trop dangereux pour une fiotte comme toi.
Demain au lever du soleil je t'attendrait dans la rue principale et je te montrerait ce que doit avoir un homme pour s'équilibrer quand il marche.

John tourna les talons et commenca à regagner la sortie laissant ce stupide bob derrière lui. Il s'arreta à mi-chemin et dit à bob qui avait fondu en larme comme le faible qu'il était voyant sa mort arriver :

Et oublie pas ce que tu ose appeller tes calibres demain. Même si cela ne changera rien à la finalité de l'histoire meur avec un minimum de prestige.
Et évite de mettre un string en cuir comme tu a pu le faire aujourd'hui, il y a des trucs plus corrects à mettre pour mourir.



le joueur de Bob

[HRP: sale connard !]


L'aube pointait au loin et Bob finissait sa séance de tir dans la grange du père Lachaise (edit: promis enleve ca de mon rp modo de merde), sur les 200 balles tirées pendant la nuit toutes avaient touchées le coeur de la cible. il en était à présent certain, ce shériff bouseux allait mordre la poussière et payer pour les affronts et menace que ce rustre lui avait fait.
Un attardé tel que lui ne pouvait connaitre la distinction et le prestige auquel les habits de Bob étaient en droit de prétendre, à Chicago les plus grands s'arrachaient le modèle de santiags qu'il avait actuellement aux pieds, mais après tout ce n'était qu'un paysan avec une étoile, un chapeau et un colt rouillé, comment pouvait-il connaitre de telles choses, lui qui ignorait selon toute vraissemblance la position exacte des Etats-unis sur une planisphère.....
Mais si une chose était sure c'est qu'il s'agissait bien du paysan à étoile qui avait grandi ici qui y reposerait pour toujours ce soir.
Bob mit ses plus beaux habits, il se dit après coup qu'il 'était trop d'honneur pour un illétré que d'etre tué par quelqu'un d'aussi classe que lui, un pantalon noir de cuir retourné, une veste à franges, un chapeau entouré d'une fine lanière de cuir et une paire de santiags d'une quelconque marque en vogue dans les millieux aisés.
Le soleil n'allait pas tarder à se lever, il fallait se presser pour ne pas faire attendre le condamné. Bob vérifia une dernière fois le bon état de ses deux magnifiques Colts US cavalry à la crosse tout en ivoire et au canon doré à l'or fin. Comble de la perfection, il grava sur les balles de petits mots d'amour à son "adversaire" si l'on peut apeller ainsi un si piètre tireur.
Ainsi préparé Bob se mit en marche pour la rue principale, le soleil serait levé dans moins de dix minutes selon ses estimations.
John quand à lui était déja la bas depuis quelques heures, bien incapable d'estimer l'heure qu'il était. Il crachait par terre, parfois sur ses chaussures....

L'heure du duel arriva, les premiers rayons fusèrent à travers la rosée du matin qui enveloppait les plaines environnantes. Un faisceau de lumière s'établit sur la pancarte "aintèrdy o pédés" rédigée et placée par le dit shériff à l'entrée du saloon...
C'était le signal, Bob dégaina et avant même que le shériff ait pointé son arme sortie avec les plus grandes peines de son fourreau usé, bob lui vida ses deux six coups dans la poitrine sans aucune autre forme de jugement. John s'effondra criblé de balles sans même avoir eu le temps d'appuyer sur la gachette rouillé de son colt bon marché, c'en était fini du laid et de ses intolérables provoquations.

Bob alla chercher son cheval, y mit son équipement et partit vers le lointain avec dans le coeur le sentiment d'une mission accomplie pour le salud des hommes sur la terre.

Il est 5h30 du matin, les gardiens de parking débauchent, les balayeurs sont dans les rues et le soleil ne va pas tarder à pointer son nez à l'horizon. L'air matinal, si revigorant prendra à la gorge le jeune cadre dynamique qui dans quelque heures quittera son studio, son retard chronique lui ayant fait oublier son écharpe, il se précipitera dans le premier métro arrivé contenant environ 95 personnes au mètre carré ou il pourra égréablement apprécier le bonheur de prendre les transport en commun dès la sortie du lit...
Cela est en somme, le décor de ce Paris du XXeme siècle ou différents mondes cohabitent et s'ignorent à un point assez impressionnant. Mais les vues générales n'interessent que les historiens et les rats de bibliothèques étrangers pensant tout connaitre de Paris en ayant lu un livre de Victor Hugo et un récit de la prise de la Bastille.
Nous allons donc zoomer dans cette ville pour y voir quelque chose, ou plutôt quelqu'un sensible d'être moins impersonnel que toutes ces "fashions victims" qui déanmbulerons dans les rues dès 12h30 après s'êtrent remis de leur cuite d'hier soir financée à leur insu par leur parents.
Mais le luxe et les pailettes de ces demeurés de 18 à 25ans au probable destin plus que tragique dans le monde de la cocaïne et de la mafia Araméene ne nous interresse ici pas.
La personne qui nous interesse et qui marche en ce moment même (5h37 et 27 secondes à présent) se nomme Marcel Duboudin. Il mène une paisible vie de retraité dans le 7ème et aime à se promener dans Paris tôt le matin. Il aurait voulu vivre le reste de sa vie avec sa femme dans leur petit appartement mais un bus en décida autrement.
Depuis ce jour Mr Duboudin parcourt la ville très tôt le matin quand la ville est encore assoupie sous les coups de la fatigue d'une journée de travail acharné.
Bien qu'il ait 88 ans, Mr Duboudin à encore toute sa tête et ses promenades dans un froid glacial ne sont pas faites pour le plaisir de se cristaliser les poumons.
En effet, depuis le jour précedemment cité ou sa défunte femme à battu le record du monde de saut en longueur sous l'impulsion d'un bus de la RATP, il sillone les rues, détruit les arrets de bus à coups de marteau et finit chaque matin sa promenade dans un dépot de la RATP ou il crève avec son viel opinel rouillé les pneus de 3 bus choisis au hasard.
Et chaque matin en retrant chez lui, il dit à la première personne qu'il croise:

"On est toujours accusé à la gueule, si t'a une tête de mec honnête, fout la merde tu sera jamais suspecté. Et si t'a une tête de suspect, eh bien fait des conneries aussi de toute facon c'est toi qui sera accusé "





ps: j'ai posé mes mains sur le clavier et j'ai commencé à écrire sans réfléchir et ca m'a donné ca..... C'est peut être une bouse internationale , ou peut être pas... mon objectivité m'empeche de me juger...