Voyage intérieur

"ENFIN !!"...La parole fut plus forte que la pensée et Slobodan rugit le mot qui se répercuta sur les parois.

Il avait passé tant de temps à errer dans ce foutut vaisseau...tant de coursives, passages et autres chemins qui vous perdent en un rien de temps et le pire de tout c'est que personne n'avait croisé son chemin, pas âme qui vive pour le soulager de sa solitude.
Au fur et à mesure que son horloge interne le pressait chaque fois un peu plus, sa paranoïa prenait le dessus. Des frayeurs oubliées ressurgissaient, l'envahissaient, le faisait douter.

"Ils m'ont abandonné c'est sûr...M'ont laissé dans la merde...J'veux pas mourir..."

La peur l'emportait, le doute et le désespoir étaient continuels...C'est à partir de ce point de non-retour que les "autres" apparurent...
Des symptômes de son enfance boulversée refaisaient surface.
Cà débuta au détour d'un couloir, quand il eut la vision de son père entouré de flammes, le suppliant de l'aider et succombant sans qu'il ne puisse rien y faire...La suite fut encore pis...fantômes, morts-vivants et divers cadavres surgissaient de la moindre zone d'ombre...
Il avait mit longtemps à se défaire de ses illusions et il se sentait pas le courage de les combattre sur l'instant...trop de temps passé et personne pour l'aider...

Son instinct le poussa à trouver un endroit relativement sombre et étroit ou il pouvait se cacher...Un conduit d'aération fit l'affaire...SLobodan s'y blottit et commençà dès-lors son propre exorcisme, une lutte contre ses démons intérieurs.

Les minutes, les heures s'écoulaient, mais il n'en avait cure, seul son combat l'importait et il commençait à avoir vraiment faim.
Un noeud à l'estomac le ramena à la réalité et c'est un Slobodan tout blanc, transit de froid et transpirant de peur qui se glissa hors de sa cachette...Il se soulagea avec le plus de discrétion possible dans un coin plus sombre que les autres et se revetit. Il lui fallait trouver les lieux de vies, il avait tellement faim...Par chance un plan du vaisseau était encastré dans le mur. Rapidement il se situa et fonça avec de nombreux regards en arrière, vers la salle commune.

A ce qu'il estimait une distance proche, il ralentit l'allure, prit un temps pour re-prendre son souffle et ajuster sa combinaison.
Il ne fallait pas que d'autres l'apprenne, jamais...Une lueur dans les yeux à l'idée du sort qu'il infligerait au cafteur, il entra dans la salle commune.

"ENFIN..."

Des gens, la vie...en son fort intérieur il se sentait renaître, chasser ses démons...Aller il fallait faire comme si de rien n'était. Calme, il se dirigea vers la machine, commanda une soupe de tomate et se vautra dans un canapé ou il attendit que son coeur se remette.

[HRP]
Je tente de devolopper ici le background de slobodan, raconter son histoire telle qu'il la voit...imaginez juste qu'il reste assis à refléchir, vous pouvez bien sûr intervenir à tout moment si le coeur vous en dit ou apporter des critiques (par mp c'est mieux). Voilà merci de me lire
[HRP]

Voilà un certain moment qu'il était assis là à laisser trainer son regard dans le vague, peu soucieux des activités qui se déroulaient à côté de lui.

Son esprit s'était hasardé à interpréter les dernières paroles de sa femme. Sujet plus qu'ambitieux, il n'avaient jamais réussit à réllement se comprendre tous les deux.
Voilà près de 2 ans (avant le départ) qu'ils travaillaient sur cette souche... De grandes valeurs thérapeutiques avaient-ils dit et Slobodan n'espérait pas moins de son bijou viral...Au début travailler sur fract 4.2 devait être le point culminant de sa carrière, pensez-vous sauvez des millions de vies, quoi de plus honnorifique...

Les premiers soupsons vinrent quand les premiers cobayes primates assimilèrent le virus de façon plus rapide que prévue, mutant leurs cellules plus que de raison. Les premières réactions furent catastrophiques...attrophies musculaires, réduction neurale, destruction encéphalique pure et simple.
Une erreur dans le codage du génome...l'explication donnée ne fût pas plus developpée.
Les souches suivantes réduisirent les dégats, contrebalançant les effets négatifs...surdeveloppement musculaire, augmentation des capacités mentales, l'armée mit peu de temps à s'interresser au sujet mais Slobodan n'en avait cure du moment que les crédits lui étaient alloués.

Effectivement les crédits affluèrent mais les directives changèrent par la même occasion... Fract 4.2 était toujours d'actualité mais à ambition militaire et non plus médicinale...C'est là que l'unsurection de Slobodan débuta réellement.

En moins de deux mois, son équipe et lui mirent an point la première souche deffinitive du virus. Son effet fut spectaculaire, les tests réalisés dépassèrent l'espérance des militaires qui "commandèrent en masse" ce nouveau jouet.
Alors que certains jubilaient, Slobodan fulminait...Il avait travaillé des années à l'élaboration d'un nouveau vaccin, il savait qu'avec, le prix pasteur lui aurait été accordé. Quand les deux chimpazés qui avaient servis de cobayes eurent finit de s'entretuer, il prit sa décision.

Il fut le premier sur les lieux le lendemain matin, ce qui était assez coutumiers ce pourquoi la sécurité ne fut pas alertée. Il commençà par l'animalerie...tous les sujets étaient placés ici en quarantaine. Méthodiquement il inocula une dose létale de cianure à chaque animal...Mieux valait pour eux se disait-il... Puis passant aux laboratoires proprement dit, il se mit à détruire tous fichiers, dossiers ou papiers qui pouvait aider à la création de ce maudit virus. Son travail aurait été achevé si sa femme n'était pas entrée, accompagnée de deux collègues.

L'échange de regards suffit à leur faire comprendre qu'il irait jusqu'au bout...

"Pourquoi ?" lui dit-elle..."Nous aurions put faire de grandes choses ensembles..." Un semblant de larme naissait dans ces yeux qu'il avait apprit à aimé.
"Il le faut tu les sais bien" lança-t-il comme réponse.

Slobodan ne faisait pas le poid, il n'était pas taillé pour se battre contre deux barbouzes. Il fut vite maitrisé et s'attendait à subir le couroux de la direction... un accident arrivait souvent aux employés discidents il le savait. Mais apparement Lise en décida qu'il devait-être tout autre...

Sans en avertir les autorités militaires, responsables du site, elle mélangea Slobodan aux prisonniers qui devaient rejoindre le convoi en partance pour la dernière planète de colonisation.

Juste avant d'appuyer sur le bouton, Slobodan put entendre à travers la vitre du caisson..."Si jamais tu en as le courage un jour, cherche en toi et tu trouveras la preuve que je t'aimerai à jamais..." Cette dernière phrase bien qu'incompréhensible, le boulversa et la voyant s'eloigner, se mit à hurler..."LIIIIIISE, LIIII...."
La congélation était rapide, trop rapide et surprit Slobodan dans son cri. Cri de desespoir figé pour longtemps.

Il se retrouvait maintenant à plusieurs milliers d'A.L de la Terre et pourtant
la distance n'avait pas altéré ses rancoeurs...

Alastor s'approche.
Je vous ai déja vu, non?
Je suis Alastor Tedunis et vous?

[HRP] Slobodan fait une fixation sur Thomas David, vous saurez pourquoi dans un prochain thread Au fait j'ai édité Thomas [HRP]

Sa paranoïa lui jouait encore des tours, depuis quelques temps il restait fixé sur cet homme qui lui semblait louche. Il se disait médecin, agissait comme un médecin ou du moins simulait très bien. Pourtant Slobodan avait cotoyé des centaines de médecins et un petit rien en lui le poussait à la prudence. Ses questions sans réponses tournaient visiblement à l'absurde et pourtant il ne trouvait pas le courage de l'affronter.

"Il m'a suivit c'est çà... il faisait partit du complexe militaire...oui, c'est çà... ils l'ont envoyé pour me tuer...argh... ils ont pas aprécier mon cadeau de départ...il souriait à la pensée de ses actes, mais la peur lui avait blanchi le peau.

Il laissait libre court à sa peur des autres et çà risquait de se terminer mal, le pauvre homme sûrement innocent dans l'affaire risquait de voir pleuvoir une série de coups et autres objets contendants comme la chaise qui trainait dans un coin.
Mais rien de tout cela ne fut fait. Un ombre vint se planter face à Slobodan, lui cachant l'objet de sa crise.

"Je vous ai déja vu, non?

Quoi ? Mais qu'est-ce que ce timbré foutait là ? Il ne savait pas qu'il était impolie de ...

Je suis Alastor Tedunis et vous?"

Slobodan fut coupé tout net... "Il s'appelle comment ? Nan c'est pas possible..." pensa-t-il. Il était passé à une peur haineuse à un étonnement des plus total...
Si cet homme disait vrai, Slobodan avait en face de lui le père de la cryogénisation, celui qui l'avait inspiré pour ses propres recherches, le maître en la matière.

"Je...je..." Son bafouillement trahissait sa subite timidité face à cet homme qui ne payait pas de mine de prim-abord mais qui dans la communauté scientifique avait fait de nombreux immules.

"Monsieur Te-Te-Tedunis...vous ici ??"...Slobodan se redressa de son fauteuil incomfortable. "Pardon, oui nous nous connaissons, je m'appelle Slobodan Kobb, nous nous sommes rencontrés lors d'un sommet sur la cryogénisation que vous présidiez à Tokyo. Je...je... c'est un honneur de vous voir là...Jamais je n'aurais pensé que vous enfin que vous... Que vous prendriez le risque de quitter la Terre. Pourquoi ce voyage ?"

Flatté et pas qu'un peu il dit avec fausse modestie:
Alastor, appelez moi Alastor. Entre collegue c'est la moindre des choses.Slobodan Kopp, je me souviens.Vous etiez un des grand du sommet si je ne m'abuse. Vos travaux aussi m'ont été utile, je ne pouvait reflechir a tout.
Vous savez si je suis venu, c'est parce que la Terre devenait un tas d'ordure et que je ne pouvait rien contre ça bien que je l'ai tenté. Je suis partit mais en laissant mon coeur sur Terre. De plus, je crain fort qu'il n'y ai besoin de gens comme nous sur Pandora. Mais vous, vous etiez jeune et prometeur, pourquoi etre parti?

Virus fit son entrée dans la salle. Il reflechissait encore aux derniers evenements qu'il venait de vivre. Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite Slobodan en train de discuter avec un vieux monsieur dans un coin de la salle. Mais lorsque son regard se posa enfin sur le groupe, il du utiliser toutes ses ressources mentales pour conserver une apparence impassible.

Tiens donc! pensa Virus. Mais en voila une surprise! Tout vient a point a qui sait attendre on dirait bien. Il semblerait que le temps de l'amusement vienne a son terme, et que celui du travail prenne le relais.

Fendant la salle d'une demarche assurée, Virus rejoint les deux hommes pour s'installer a leur table.

-Bonjour Messieurs. Permettez moi de me joindre a vous! Je me presente, Vincent Russel, voyageur desespéré par l'etat de delabrement de ce morceau de rouille que certains appellent navette, faisant preuve ainsi d'une imagination débridée *petit sourire poli*

S'adressant a Alastor

-Excusez moi, mais votre visage me dit quelque chose... Veuillez me pardonner ma mémoire defaillante, j'ai sans doute encore un peu de mal a me remettre de mon reveil.

Dedeignat mentalement le nouvel arrivé il lui dit d'un ton hautain et mefiant, on n'est jamais assez prudent :

Alastor Tedunis, un passager scientifique du shuttle. Vous avez raison, soit de parler du shuttle ainsi puisque je sais que durant 30 ans l'entretien n'a pas ete etabli... Mais pourquoi venir vers nous et pas ce couple la-bas?
Ou le petit blond, vous seriez surement ami, vous semblé avoir le meme petit ton...

Agressif, il saurai bientot qui etait cette etrange personnage, sa paranoia de ses vieux jours tirant la sonnette d'alarme. Meme si les politiques lui en voulait, jamais il se ferait traquer 30 ans... Du moin, il l'espérait...

C'était bien lui. Un maître à ses yeux. Et voilà que celui-ci le traitait comme un confrère, comme un père. Slobodan se sentait plus qu'honoré, oubliant tous ses troubles, ses noires pensées qui lui avilissaient l'esprit.
Tout en l'écoutant parler de ce qui serait plus que des souvenirs désormais, Slobodan imagina ce qu'il avait pût advenir entre-temps, si l'armée avait finalement mit au point son virus, si Lise allait bien...et si, et si...Tant de choses qu'il était préférable de délaisser.

"Mais vous, vous étiez jeune et prometteur, pourquoi être parti ?"

La question lui fit comme à chaque fois l'effet d'une claque. Mais il se refusa de dévoiler les réelles causes de son départ en catastrophe. "Si jamais il l'apprenait, ma vie dans le monde scientifique est à jamais anéantit" pensa-t-il.

"Je...Un petit différent avec ma femme, on a pensé que s'éloigner un peu réussirait à notre couple... et vu que pour ne pas subir son imposante personnalité, une A.L ne suffit pas...me voilà !"

Quelle stupidité...Qui pourrait croire çà ? Qui partirait à des années-lumières pour un scène de ménage ? Mais c'était en partie vrai et Slobodan estimait la réponse suffisante. De toute façon il n'eût pas le temps de développer. Un inconnu q'il n'avait jamais vu les rejoignit et s'introduisit lui-même dans la conversation.

Il semblait bien éduqué ou du moins le faisait paraître. Pourtant Alastor le rabroua sans ménagements. Apparement il y avait plus suspicieux que lui à bord pensa-t-il dans un sourire.

"Si vous me permettez Alastor, je crois que ce monsieur ne nous veut pas de mal, amusé de la situation, il a juste remarqué que c'est de cette table qu'émanait le plus de matière grise et souhaite sans doute se renseigner ou discuter avec nous. Je ne vois pas de soucis de mon côté. Kobb, Slobodan Kobb dit-il à Vincent, lui tendant la main en signe de bienvenue. Alors comme çà vous êtes aussi en galère ?" Dit-il, souriant à son jeu de mot.

Il s'est presenté, a dis ce qu'il avait a dire a Vincent Russel.
Il se reinterrese a Slobodan et dis
Sentant que un peu d'amitié ferait du bien a Slobodan, vu qu'il semblait assez mal auparavant

Il est vrai que nous sommes commes des aimants a savoir mon ami. Mais un couple qui devient comme ca, je n'ai jamais vu!
Vous avez choisi une solution comme une autre. De plus nous ne saurons pas de trop sur Pandora

Decidement, le vieux fou s'avérait extremement pénible a supporter. Un concentré d'arrogance et d'inconscience des plus dangereux pour sa santé s'il ne changeait pas tres rapidement de comportement une fois le vaisseau arrivé a destination. Virus aurait aimé rabattre le caquet de cet accariatre personnage, mais malheureusement, Slobodan semblait lui accorder de l'importance. Envenimer la situation n'entrainerait que des complications en definitive.

Se resignant difficilement a passer outre, Virus repond a Slobodan, un pauvre sourire sur le visage

-Je vous remercie d'avoir pris ma defense Mr Kobb *serre la main tendue chaleureusement* Mais je ne souhaite nullement imposer ma compagnie a quiconcque, et je m'en voudrais de vous deranger plus que je ne l'ai deja fait.

Se relevant, Virus effectue un salut raide, presque militaire.

Ignorant Alastor volontairement

-" Mr Kobb.

En esperant avoir l'occasion de poursuivre cette conversation pourtant prometteuse lors d'une autre occasion, sans deranger votre ombrageux ami. Je vous souhaite une bonne soirée Messieurs."

Virus se dirige vers les deux femmes attablées juste a coté.

Oho un gars suceptiple.
Note a moi meme, Russel est suseptiple.

Ce fut ses pensé quand tout comme lui ilss'ignorerent.

Sil ne veux se joindre a la discution, il pourrais saluer tout le monde.
Sinon pour en revenir a notre discution, un couple qui se separe a travers le temps et l'espace est ettonant quoique extreme, mais j'avoue que j'aurai pu avoir une idée indentique plus jeune

Virus le salua et rejoignit un autre groupe. Alastor semblait l'avoir prit en grippe..."Ces deux là vaut mieux pas les laisser seuls ensembles" pensa Slobodan,souriant légèrement, l'image de deux pies se chamaillant traversant son esprit.

Alastor semblait se suffir lui aussi de son excuse bidon. Tant mieux. Mais il était préférable de changer de sujet, celui-là commençait à le mettre mal à l'aise.

"Certes, certes, ma relative jeunesse peut être la raison de ma venue mais sachez que je m'en repent maintenant. Voyez où l'on a atterri...si jamais on atterrit un jour...un cargo qui part en miette, une distination des plus hasardeuses, des passagers encore plus loufoques avec des psychopates parmis eux. Non franchement on peut affirmer que la chance nous a définitivement quitté."

Il perdait son sang froid, mauvais pour un chercheur. Garder son calme pour toujours avoir une maitrise de la situation...un des rares principes retenus de son court passage à l'école des officiers de L'USAF.

"Mais bon, nous avons un très bon pilote, un personnel compétent et un rêve à bâtir" dit-il pensant à son avenir plus que flou qui de rapprochait au fur-et-à-mesure que les secondes s'égrennaient..."Quoi de plus stimulant pour garder l'optimisme ?" Paroles pleines d'espoir, tout aussi utiles à lui même qu'aux autres.

"Oui, nous pourrons bâtir un idéal sur Pandora. Il faudra se retrousser les manches, on a vraiment du pain sur la planche. Je ne sais vraiment pas si des installations nous attendent là-bas ou si les bulldozers sont dans la soute. Alea Jacta Est comme disait Jules César on ne peut plus faire demi-tour."

Slobodan s'arréta un moment. Il en profita pour jeter un bref coup d'oeil au reste des passagers. Tous discutaient, riaient ou erraient. Slobodan s'imagina un instant la panique que provoquerait un incident à bord avant de se reprendre pensant au meurtre perpetré et à la reaction minimale qui s'en suivit. "Faites que rien n'interromp ce sourir d'enfant" supplia-t-il en repensant à Anaïs quand il jouaient aux échecs. Il se demandait ce qu'elle devenait. Il ne vit pas le regard attentif de Vincent Russel se poser sur lui, trop absorbé dans sa contemplation

Puis il revint à Alastor.

"Croyez-vous qu'ils nous permettrons de retravailler sur un projet là-bas ? J'aimerais tant nous éviter les inévitables maladies qui surviendront."

Bon, M. Alastor je crois que je vais vous laisser.

[HRP]
Dsl mais la dernière phrase n'avait rien à faire là il était tard. On continue la conversation pour le moment
[HRP]

hélas mon cher, je crois que nous sommes dans une mauvaise passe, ne le redite mais je crois que ce vaisseau est mille fois plus dangereux que la Terre vu l'exigue des pieces.Le parsonnel competent? J'en doute un peu: des suicides, un meutre... Mais pour le reve vous avez on ne peu plus raison. Mes D'avis que nous serons coincé ad vital aeternam sur Pandora. Je crain que nous ne soyons des pigeons de l'entreprise qui propose ler voyage. Il suffit de voir les clandestins qui se reveille et rejoignent les autres comme si rien etait coup d'oeil a la Planquée et à l'etat de delabrement du vaisseau. Mais ne parlons a personne de nos aprehension, gardons les dans la confiance

Mes d'avis sinon que nous serons automne sur Pandora, n'oublez pas qui nous sommes: 2grand scientifique terriens.

Je vous ai deranger dans mon sommeil, j'en suis navré, je suis parfois si peu sociable...
Mais appelez moi Alastor tout cour, le monsieur Alastor est trop pesant vous trouvez pas?

Si vous voulez retourner a votre sommeil, dites le moi et je vous laisserai tranquille

"Vous avez raison... vous avez raison, une fois de plus.
Keep the smile comme on dit chez nous."

Il sentait que la conversation se faisait moins vigoureuse. Sans doute Alastor avait raison. Il décida d'y mettre fin.

"Bon Monsie...Alastor je vais vous laisser, non point que je sois fatigué mais j'ai besoin de me dégourdir les jambes et revoir une personne que j'ai pas vu depuis quelques temps. Ce fut un plaisir de vous rencontrer et de parler avec vous. Je pense qu'on se reparlera avant l'atterrissage mais sinon je vous souhaite une bonne fin de voyage.
J'aimerais qu'on se voit rapidement sur Pandora pour travailler efficacement."

Puis serrant la main d'Alastor, il se leva et quitta la salle sans cérémonie.

[Quitte la salle]

Slobodan a écrit:

"Vous avez raison... vous avez raison, une fois de plus.

Rien de tel que de la flatterie, Il aprecit.

Se sera avec un plaisir de travailler avec vous, réusit-il a placer devant le depart de Slobodan. Puis lui aussi sort

Il est temps de visiter le vaissau