Hé hé ! Y'a bien quelque chose à tirer

*Après avoir pris avec reconnaissance la bouteille d'eau quu'on lui tendait, l'adolescente regarde d'un air effrayé le remue ménage que font tous ces drôles de gens autour d'elle, elle commence à avoir vraiment peur, quand Alexius s'approche d'elle, elle s'agripe àson bras, et chuchotte d'une voix tremblante*

"Où sommes nous? Qui sont ces gens?"

*Gambit sort d'entre les paquets... et se dirige vers la sortie*

Y a de plus en plus de monde ici...
J'ai terminé ce que j'étais venu faire. Bonne continuation.

( Stéphanie est heureuse de récupérer son appareil, mais la grosse brute risque de ne pas être contente. Elle remercie Achille de la main pour s'empresser de sortir ensuite avec son sac de voyage. )

Se détournant un instant de l'enfant, Sarah observe le comportement des Callahan et assimilés en secouant la tête.

Non mais je rêve, ça vous appartient pas ces trucs ! Vous avez que ça à foutre de piller ? Et vous allez le vendre à qui, hein ? Vous croyez que le pognon aura de la valeur sur Centaury ? Laissez au moins leurs affaires aux gens, ils ont plus grand chose d'autre !

Elle se retourne vers ses compagnons.

Va falloir virer tout le monde et sceller cette putain de cale avant qu'il reste plus rien. Et puis emmener la petite là haut, c'est pas un endroit pour une gamine.

germaine descend dans la cave , un grand sourire aux levres

hey salut les jeunes , y'a quoi dans cette cale, vous avez pas trouver un peu de shit je me coulerai bien une douille!


ah et si il y a des mal un peu en manque j'ai une cinquantaine de fhm collector dans mon sac

*sourire exagéré*

et pour les filles je peux dépanné quelques godemichets , mais vous le lavez apres!

comme on dit chacun chez soi et les maladies veneriennes seront bien gardées!

*Au passage de Stéphanie il lui emboite le pas.

Et quite la cale.

Une bonne occupation , escorter la mome.*

Attrape Sarah Sarner avec ses bras télescopiques.
"Hé toi ! Est ce qu'on t'as demandé ton avis poulette ! Si tu continues à me faire chauffer les circuits, je te met le machin que je viens de trouver dans le cul, ca va te calmer !"

Dis donc toi espèce de bloc de ferraille ambulant, lache la tout de suite et sois respectueux envers boite de conserve

Se dirige vers Bender en attrapant une barre de fer au passage

et mes playboy , personne en veut de mes playboy?

s'assoie sur une caisse dépitée

*Manuela suit docilement les gens qui veulent l'emmener, de toute façon, aucun endroit ne peut être pire que celui là, c'est évident...

Elle se retourne vers la dame qui a dit s'appeler Sarah.*

"Madame? Où allons nous?"

Fini de se rouler sa cigarette, l'allume et se lève. Ecoute tout le monde puis se barre discretement
*D'abord, soigner ce putain de bras*

Sarah pousse un léger cri de douleur lorsque le bras telescopique l'enserre. Cette saloprie de robot n'est pas très impressionnante mais la jeune femme n'est pas vraiment une force de la nature.

J'ai pas de compte à rendre à un méca ! De toute manière tu vas mettre tout ça où ? T'as des poches ? On a pas implémenté la notion de propriété dans ton programme ?!

Elle entend alors Manuela lui parler.

Euh, une petite seconde, on s'occupe du tas de feraille d'abord.

Alekseï était arrivé en copagnie de Sarah et des autres dans la cale où il y avait déjà pas mal de monde. Toute cette petite troupe cherchant ses affaires ou des affaires qui aurai pu devenir les leurs.....
Sans préter attention aux autres, Alekseï se mit à fouiller la cale en quête de ses affaires. Il regarda avec attention toutes les caisses, esperant trouver son nom sur l'une d'entre elles.....Après quelques minutes de recherche, il la trouva enfin: une boîte métallique de taille moyenne, qu'il avait lui-même préparé pour ce voyage. Il l'avait muni d'une sécurité que lui seul pouvait ouvrir. Ses sacs contenaient des choses bien trop précieuses pour qu'elles restent à la portée de tous.
La sécurité était assez rudimentaire: une serrure basique mais fait en un alliage dernier cri, donc ultra-résistant.
Alekseï fit glisser la clé à l'intérieur du barillet et la tourna. La caisse s'ouvirt donc pour laisser apparaître un énorme sac à dos: il contenait son matériel de travail ainsi que diverses affaires personnelles. Alekseï n'avait emportés qu'un seul sac, car il n'aimait pas s'encombrer de choses inutiles, il ne prenait que le strict nécessaire, même pour son travail.

Il sortit alors les sacs de la caisse et commença à vérifier leur contenu. Matériel de terrassement ( petite pioche, petite pelle), matériel d'analyse ( bec benzene, diverses fioles, assortiments de produits chimiques non polluant), divers carnets vierges et quelques livres traitant d'écolgie....tout était là pour qu'il puisse accomplir son travail.......quelques affaires chaudes, au cas où.......une tente pour les conditions extrêmes (et un sac de couchage) mais surtout une photo de sa bien-aimée, Anastacia. En voyant cette photo Alekseï eu un haut-le-coeur. Il caressa, la main tremblante, le visage de son aimée.......quand allait il la revoir? Si jamais il le pourrai. Alekseï resta ainsi quelques instants à contempler ce doux visage. Il sentait ses yeux se mouiller de larmes mais il ne pouvait se laisser aller, pas ici.
C'est alors qu'il rangeat la photo, en prenant soin de la protéger des autres objets.......

Il mit son sac sur ses épaules et quitta la soute en direction de la salle commune, il n'avait plus rien à faire ici.

Les autres le regardèrent quitter la cale, en se demandant surement pourquoi il quittait la salle si rapidement.....

Ed se retrouva dans la cale après avoir croisé un mec qui en sortait, l'air sombre. Son bras ne saignait plus, mais le lancait sauvagement. Il se figea à l'entrée quelque seondes. La salle était relativement petite, de nombreuses caisses un peu partout et le plus drôle, des gens, tout plein de gens. Y'en avait qui se débattait avec une espece de boite de conserve, la vieille folle était la(décidément elle est partout) et criait en tenant une pile de bouquins entre ses mains, Il y avait aussi une fille qui semblait un peu perdu. Il sourit et commença à fouiller un peu partout. Il n'y avait malheureusement rien de très interessant. Il trouva quand même un briquet dans un coin et le mit avec sa cigarette pour plus tard. Les gens se débattait toujours avec le robot. Il prit son élan et se jetta dans la bataille, escalada le dos de la boite en ferraille et lui tira sur la tête

Sus au truc, les vieux !!

Clic Humph! clic Humph!clic Humph! clic Humph!

Décidément se déplacer avec une béquille dans les coursives d'un vaisseau n'était pas chose aisée.
Ruisselant de sueur, il a fini par atteindre les cales. Facile de ne pas se tromper, suffit de suivre les éclats de voix.

Il jeta un oeil pour voir une scène surréaliste; 3 personnes se battaient contre un robot et un enfant s'était jeté sur son râble.
et apparemment l'objet de la dispute était un godemiché!

Il avisa un cagoulé qui tenait une 'teille à la main .

"J'suppose qu'y a d'anésthésique que de l'alcool ici?"

Comme l'autre le regardait sans répondre, il lui pris la bouteille des mains avala une longue rasade jusqu'à sentir une boule en fusion au fond de son estomac.

"Merci." dit Cain en lui repassant la bouteille.

Puis il partit explorer le reste de rafiot voir si quelqu'un ne saurait accélerer sa reconstruction osseuse.

Bender avait Ed sur le dos, Alexius à côté avec une barre de fer et Sarah dans les bras, ce n'était pas le meilleur moment pour se bagarrer : il était loin d'avoir l'avantage.
Tentant le tout pour le tout :
"Mais c'est un complot ! Vous avez tous décidé que je ne pourrais récupérer mes propes affaires ! A MOI !!!! Je suis un oppriméééé !"

Callahan regardait autour de lui, éberlué. Sa main le brûlait, son sevrage de trente ans avait multiplié les effets de son pétard, plus tôt. Il décida de s'éloigner pour le moment.

Bon, bah j'prends mon sac, hein...
Il attrappa un bagage au hasard et quitta la soute.

Voyant Bone partir et que les autres n'étaient pas décidés à le croire :

"Hé ! Regardez là bas ! Y'a distribution gratuite de boisson !"

Et Bender s'enfuit en courant emportant avec lui 2, 3 objets.

Alors que Le robot fit mine de s'enfuir en courant, Ed trouve plus prudent de lacher sa tête et de retomber sur ses pieds. Il était pas mal essouflé et s'assit sur une caisse qui trainait la. Il sortit sa cigarette de sa poche, son briquet et l'alluma. Ca faisait du bien un peu de sport.

*Tousse*

*Bon, bon,bon. J'ai pas tout visité la*

Il se remt d'un bond sur ses jambes et sortit en marchant (pour une fois)

J'hallucine completement...

Sarah se masse là où elle a été oppressée par le robot, elle gardera probablement quelques bleus. Elle s'adresse à Alexius et Manuela.

Attendez une petite seconde, je vais récupérer mon matos et mes affaires et on sort de cette cale, c'est vraiment trop malsain.

Après avoir un peu fouillé, la jeune femme trouve un genre de coffre à code qu'elle ouvre sans difficulté. Elle y laisse quelques affaires sans valeur comme des vêtements et en sort une malette elle-même verouillée. Elle referme le coffre et recode la serrure avant de revenir.

Alexius, vous avez aussi quelque chose à récupérer ou on peut y aller ?

À présent, la cale était devenu un vrai bordel, bien pire que la chambre d'un célibataire d'une quinzaine d'année. Des sacs avaient été déchirés, le contenu répandu sur le sol. Ce ne sera pas une mince affaire que de trouver ces propres bagages. Alors qu'il cherchait ces propres affaires, il entendait des voix ce déplacer dans le noir. Comme si le seul fait que j'éclairais mon passage et me faisait ouvertement voir à regarder dans les bagages, sans me cacher et en faisant bruyamment savoir que je suis là entrainait irrimmé(n>di)a(ble)(n<m)ent honnête.

- Enfin, mon sac, une tasse de café, des résultats de plus dans mon enquête préliminaire. Au sous-sol, si j'ai besoin d'un service discret, il y a se qu'il faut, surtout quand ils vont s'apercevoir que je les ai eu et qu'ils viendront regarder mon "sac".

En remontant l'escalier, l'homme décida de faire une pause, laissé des notes à la salle de cryogéno et de retourner dans la salle commune.

Non ma chère Sarah, je n'ai rien d'utile à récupérer ou à déposer pour l'instant.

Cette boite de conserve ne vous a pas fait trop mal?? posant la barre de fer, s'il recommence je le fout dans le broyeur cet abruti.

Vous avez raison sortons d'ici.

Virus s'approcha d'un datapad juste a la sortie de la salle cryo, et commenca a étudier les plans du Shuttle avec soin

Evidemment, ces plans sont incomplets. Il manque les coursives techinques, les conduites d'aerations, voire meme probablement quelques pieces au vu de l'espace occupé par le plan et la taille du vaisseau. Enfin, les informations principales sont là. J'aurais tout le loisir de poursuivre mes investigations plus tard.

Virus se dirigea vers les calles, et resta un moment figé sur le seuil de la vaste piece.

Une émeute semblait avoir eu lieu ici. Nombres de malles avaient été ouvertes, et un amas de vetements, sacs déchirés, ustensiles divers, revues, affaires de toilettes et autres effets personnels, jonchait le sol de la pièce en un chaos indescriptible.

Et au milieu de ces monceaux d'affaires jetés pèle-mèle... tronait une grand-mère, seule, assise sur une caisse, une brassée de play-boy dans les mains!

Mais... Qu'est ce que c'est encore que ça? Peu probable qu'elle soit la responsable de tout ce fatras.

Non?

Quand meme pas?

Enfin, on n'est jamais trop prudent... Et que fait elle avec ce genre de revues dans les mains?

- Bonjour Grand-mère. Non, ne vous derangez pas pour moi, je ne fais que passer.

Avisant sa caisse éventrée avec dépit, Virus poussa un profond soupir.

*Sigh*Bon. Il va falloir retrouver mes affaires dans tout ce fouillis. J'espere juste que je n'aurais pas a chercher sous la grand-mère...

Alors qu'il allait s'engager dans l'escalier menant à la cale, il se figea : une fillette accompagnée d'un petit groupe remontait. Il ne parvint à s'empêcher de la fixer avec un regard un peu triste. Il se reprit bientôt et, adressant un dernier regard à la petite fille qui s'éloignait de dos dans le couloir, il descendit. La scène à l'intérieur de la cale était particulièrement invraisemblable. Un véritable chaos régnait et il devina que les pilleurs faisaient déjà leur oeuvre ; à vrai dire il s'étonnait même que le vaisseau ne soit pas encore le théâtre d'affrontements de gangs revendiquant leur quartier, d'autant que le personnel chargé de la sécurité semblait clairement en sous-effectif. "Bah, il y aura toujours de la place pour un docteur, dans un camp comme dans l'autre, je n'ai pas de soucis à me faire" pensa-t-il. Il se ravisa bien vite, s'apercevant avec stupeur du cynisme de cette dernière pensée. Difficile de garder les idées claires dans cet endroit.
Au milieu du capharnaüm ambiant, il enjamba quelques caisses, évita de glisser sur plusieurs objets renversés sur le sol, avisa un instant avec stupéfaction une grand-mère feuilletant des magasines dont elle n'aurait vraisemblablement jamais du ne serait-ce que connaître l'existence, puis se mit à fouiller.
Au bout d'une heure, il trouva sa sacoche et quelques babioles tels du papier, quelques livres et de quoi écrire. Intérieurement il maugréa de n'avoir pas eu le temps de prendre un nécessaire de toilette et des vêtements de rechange. Après avoir vérifié le contenu de sa valise, il entreprit de sortir de la cale sans plus se préoccuper des autres passagers.
Se signaler auprès des autorités du vaisseau, qui pourraient lui faire savoir ce qu'on pouvait attendre de lui... il se dirigea vers la salle de communication.

Sarah hoche de la tête.

Ca ira Alexius. Mais j'ai décidement toujours un peu de mal avec ces mécas... Bon allons-y alors, j'imagines qu'on ne peut pas faire plus que s'installer en attendant l'arrivé. J'ai pas l'impression qu'il faille en attendre plus vu l'ambiance générale.

La jeune femme soupire tristement.

Tu viens Manuela ? On va pas te laisser toute seule ici.