Etalé, bouche ouverte...

levant les yeux...

mais y'avais pas une machine qui fabrique plus ou moins de quoi manger?
Mast on aurait jamais du venir ici; Astariel allait m'expliquer ce qui se passe!

dites moi heuu...Joe c'est ça? quoi qu'il en soit...que se passe t'il ici,pourquoi n'ya t il pas de nourriture, pourquoi les gens semblent si tendus? que se passe t il ici?


ET OU SONT MES BAGAGES????????

S'adressant à Narcisse.

" T'inquiète pas pour tes bagages, on demandera a Astari-chépaskoi... Mais avant, ouais, je te présente Joe dit Joe "Big Guy" Barter, un pote à moi."

S'adressant à Joe.

" Je te présente Narcise dit "Cathy McDougall"."

Chuchotant à l'oreille de Joe.

"Elle est meneuse alors pas de gaffe avec elle, man..."

soupirant

Cathie Mc Dougall dis Narcisse!!

ooo c'est pas vrai ça!

bon alors Joe!! c'est quoi ce bazard?

et toi là, qu'est ce que tu veux dire par "meneuse"

s'impatientant

bon je vous laisse 5minutes pour m'expliquer et je m'en vais!

"Dac, on va parler affaires...je te rejoins plus tard, ma puce...et t'éloigne pas trop, tu risquerais de te perdre sans Passe-partout, pas vrai, hein."

Soryaa respira encore une fois avant de passer son frêle corps dans l'embrasure de la porte du self, elle y resta plantée quelques secondes tétanisée de voir autant de monde réuni. Et puis de toutes sortes... Ici et là, des groupes étaient formés et tout le monde discutait de vive voix.

Elle se sentit bien plus petite encore qu’elle ne l’était en réalité ne reconnaissant personne, ne sachant même pas où elle se trouvait. Elle regarda autour d'elle, de longues tables et des plateaux repas devant les gens présents. Certainement un genre de restaurant. Elle longea le mur pour s’installer à la première table auprès d’elle toute seule pour pouvoir observer à sa guise. De toutes façons, elle était bien trop timide pour aller vers les autres.

Elle regardait de tous côtés les différents groupes, un couple qui parlait dans une langue qu’elle ne connaissait pas, un groupe d’hommes de couleur, un autre groupe à côté d’un distributeur de nourriture dont une blonde sculpturale et un homme d’une carrure imposante qui faisait bien plus que discuter. Vraiment, il se passait de drôles de choses…

Elle se leva pour s’approcher discrètement de l’appareil, tiraillée par la faim, en espérant que personne ne lui pose de questions. Doucement, elle passa dans le dos du couple pour arriver devant la machine, mais elle n’y découvrit aucun mode d’emploi.

Elle resta plantée murmurant : "Mais comment ça marche ce truc ?"

Elle se retourna vers le groupe en baissant les yeux, puis d’une toute petite voix :

"Heu… Excusez-moi… Pardon… "

Apparemment ça ne marchait pas… Elle ne parlait sans doute pas assez fort. Tout à coup son regard bleu se voila puis devint plus brillant, elle releva la tête et lança d’une voix assez forte:

"Eh ! Y en a pour me dire comment marche ce truc ? Parce qu’à part lui filer un grand coup de pied je vois pas ce que je peux faire avec ce machin ! Et en plus ça abîmerait mes jolies bottes !"

Elle referma la bouche, cligna des yeux et les regarda en portant les mains à sa bouche. C’était elle qui leur avait dit ça, elle n’en revenait pas… Elle rougit jusqu’aux oreilles en regardant le sol.

Alors qu'il terminait sa phrase, une voix s'éleva derrière lui. Il ne saurait sans doute jamais ce que pouvait bien être un pharmaco.
Il se retourna.
- Désolé mademoiselle, mais j'ai bien peur que cette machine ne soit plus en état de délivrer des repas. Il me semble que la machine de la salle commune distribue encore des gâteaux qui devraient vous aider à prendre votre mal en patience en attendant qu'une solution soit trouvée... si elle existe, ajouta-t-il d'un air sombre.
En vérité, il voyait déjà une solution au problème, mais elle était loin d'être attrayante... les capsules de cryogénisation étaient pleines de cadavres en parfait état de conservation, donc théoriquement consommables.
Une alimentation suffisante pour tenir jusqu'à l'arrivée sur cette fameuse planète.
Suffisante pour que la moitié des passagers finissent fous avant l'arrivée sur cette fameuse planète.

Même s'il savait que leur présence commune dans cette navette ne devait rien au hasard, Skank se sentait trop mal à l'aise pour avoir une explication avec Megane pour l'instant. Il étouffait dans ce self, la plupart de ses occupants avaient assisté à la correction que lui avaient infligé les deux blacks, et c'étaient autant de témoins de son humiliation qu'il n'osait plus regarder en face. Il lui fallait quitter cet endroit.
Il se dirigea d'un pas rapide vers sa soeur et interrompit la discution qu'elle entretenait avec le vieux barbu.
- Scusez moi d'vous couper...M'sieur.
Se tournant vers crystal, à voix basse...
- Meg, hum... 'ci pour tout à l'heure, hein... y faudra qu'on se parle...mais pas maintenant. j'ai besoin de changer d'air...d'me trouver d'nouvelles frusques aussi...Ouais...hum, bon j'me taille !
N'attendant pas de réponse, il tourna les talons et prit aussitôt la direction de la sortie. Il croisa en chemin une fille qui se plaignait de ne pouvoir faire fonctionner les distributeurs de repas. Skank ne prit pas la peine de la renseigner et sortit du self.

les Cales du shuttle

Le désespoir et la souffrance de Sarah étaient aussi visibles que compréhensibles. Il avait vécu tout cela. Il avait commis des choses horribles et avait caché sa responsabilité derrière l'illusion d'oeuvrer pour une cause qui lui semblait bonne.
Et puis les années ont passé, la cause a changé mais son travail restait le même. Il avait douté et s'était détesté. Il avait cherché des justifications et avait sombré dans le désespoir. Il avait cherché la rédemption et il avait essayé de mettre fin à son existence.
Puis il s'était habitué. La culpabilité avait laissé la place à l'indifférence. Les fantômes qui le hantaient ne lui faisaient plus peur et il pouvait maintenant les affronter sans craintes.
Il avait accepté sa condition de monstre.

Patterson fut tenté une nouvelle fois de la consoler, de la rassurer,... de la prendre dans ses bras pour que la jeune femme se sente protégée.
La seule chose qu'il s'autorisa fut de répondre à son regard par un sourire qu'il voulut le plus sympathique possible.

Citation :

L'avenir, ouais... T'as vu la gueule qu'il a l'avenir ?
Et imaginons qu'on survive à ça... On tombera sur une planète sauvage et inconnue. Et si on survie à ça aussi, tout le monde s'empressera de la détruire comme la Terre. Quel avenir ?

Il reprit son masque de froideur.
Sarah ne devait pas se décourager et laisser le doute et le remords la ronger. Patterson sentait qu'elle était une femme d'action et que si elle se trouvait un objectif pour justifier son existence, elle pourrait peut-être oublier son passé. Il devait la remettre sur les rails.

C'est vrai, on va devoir se battre et faire des sacrifices pour survivre. Ce qui nous attend est loin d'être réjouissant.

Il fut un instant tenté de lui révéler ce qu'il savait et la raison pour laquelle il était à bord du Shuttle, de lui dire que ce vaisseau ne se poserait jamais sur la planète, qu'ils seront obligés de l'évacuer en urgence à bord des capsules de sauvetage, qu'ils seront désséminés sur la planète au petit bonheur la chance, sans ressources ni réserves,... qu'ils seront complètement livrés à eux-mêmes.

Mais cela ne changerait rien et ne ferait qu'amplifier les angoisses de la belle jeune femme.

Il faut que tu gardes la volonté de te battre. Si tu doutes, tu ne survivras pas.
Certaines personnes ici sont conscientes des erreurs commises par l'homme et souhaitent faire en sorte de ne pas les renouveler.
Sur cette planète, s'ils se montrent assez forts, ils ont une chance de faire valoir leurs idéaux.
Tout le monde partira à armes égales et ce seront les capacités de survie, l'organisation et la volonté qui pourront faire la différence.
Tu devrais en parler avec le docteur David et ou avec Aleksei Grishenko.

Il désigna les deux hommes concernés.

Soryaa regarda l'homme qui lui avait répondu, ainsi la machine ne fonctionnait plus... Son ventre se serra encore un peu plus de savoir qu'il ne serait pas contenté maintenant. Elle lui répondit d'une petite voix :

"Merci beaucoup... Je vais essayer de trouver la salle commune alors..."

Elle essaya de ne pas trop penser à la dernière partie de la phrase que le barbu lui avait dit... Y avait-il une solution à ce problème de nourriture ? Elle préférait ne pas y penser cela augmentait la sensation de faim qui la remplissait de plus en plus.

Elle retourna vers l'entrée du self...


Topic "Dans le couloir devant la porte"

La discussion entre Cruystal et cet homme barbu qui se faisait appeler Thomas semblait très clairement finie. Bételgueuse, qui était resté silencieux jusqu'alors en profita pour reprendre leur conversation

-C'est de l'Héro madame, et pas des moindres. La vanité étant un vice que Dieu merci je n'ai pas, je partage bien évidement. Ce n'est d'ailleurs que de cette manière que l'on pourra s'en sortir, vu qu'apparement les sandwichs sont à oublier. Remarquez bien que je ne juge même pas s'ils méritaient la dénomination de sandwich...

Se tournant vers Joe qui entre temps avait entamé la discussion avec un de ces anciens amis plaisement accompagné

Disons que mon passé m'a conféré certains avantages, mais n'ayez aucune crainte, je ne suis pas un de ces vulgaires concurrents auxquels vous avez pu avoir affaire de par le passé. Bon, décidez vous parce qu'elle va finir par prendre l'humidité à force de rester à l'air. Reconnaissez que ce serait vraiment du gachis.

Ces deux interlocuteurs semblaient convaincu, il eut été néanmoins discourtois de sa part de ne préter attention à la jeune femme qui se trouvait près d'eux, énervée pour le moins.

-Puis je vous être utile en quelque manière que ce soit, madame?

La jeune femme semblait soumise à un stress qui résultait probablement du choc provoqué par la décongelation précoce, le manque de nourriture, le cloisonnement. Autant de phénomènes qui influaient beaucoup sur l'état psychologique des êtres. Bételgueuse, soucieux de préserver la santé du groupe et de ce fait celle de ses membres, engagea une conversation courtoise visant à la mettre en confiance sans pour autant l'outrager.

-Je me présente: Bétegueuse. Ce que j'ai fait et ce que je fus n'a pas d'importance, mais j'ai à coeur le bien-être de tous. J'ai cru comprendre que vous étiez un peu perdu, ce que je comprends tout à fait. Vous semblez également à cours de bagagerie. Si vous le permettez, je vous accompagne jusqu'aux cales, et en chemin je vous explique l'essentiel à savoir.

la jeune femme acquiesse, non sans avoir au préalable concerté l'ami de Joe qui l'accompagne, un passe-partout qui a forgé sa force sur le respect.
Crystal entre temps a pris du petit cadeau que Bételgueuse avait sorti, cadeau qui avait provoqué la méfiance mais aussi l'intérêt de Joe, méfiance bien vite estompée par les explications concises mais néanmoins claires fournies.

hrp: donc la je te suis dans les cales non? scuse j ai du mal

hrp: oui c'est tout à fait ça, on descend dans les cales ensembles (mais correct einh! pas de truc louche dans ma proposition!!.. ) pour chercher tes bagages,ainsi que quelques pilules de nourriture déshydratée que j'ai dans mes affaires, et je t'explique ce que tu souhaites savoir.

Au passage, devant la porte du couloir on s'arrête 5 minutes pour dire deux mots à une amie, mais pas plus. On s'attardera au retour.
fin hrp.

Narcisse et Bételgueuse sortent de la salle en laissant les autres à leur conciliabules plus ou moins animés.

-Soyez sages pendant que nous sommes absents. Je vais chercher de quoi compenser nos ennuis et contre-temps facheux pour quelques jours.

"dans le couloir devant la porte" (PS pour Narcisse, hrp)

" Bon, Joe , t'aurais pas croisé les autres potes du gang, je me demande où ils sont passé ... tu sais Meth ... Ouais c'est juste pour savoir, t'inquiète pas, je vais pas le suvre comme tu le crois, man ... Et puis, entre nous, c'est mieux de garder le secret à propos du deal de la tapette en blanc qui se prend pour Néo avec ses lunettes archipourris et puis, je pense que ce serait plus équitable qu'on se partage les excitants, enfin tu vois ce que je veux dire, entre nous deux... on fait 1/4 pour toi et 3/4 pour moi ... c'est plus raisonnable vu que je viens juste de me réveillé, non ?"

Mast regarda Joe avec ses yeux de cooker afin d'influencer la decision de Joe.

Appuyant toujours son corps sensuel contre celui de Meth', Goldie se hissa sur la pointe de ses pieds pour lui chuchoter à l'oreille ce dont à quoi elle pensait.

"- Je crois que je viens de trouver les réserves de bouffe du vaisseau. Il y a une pièce juste derrière le mur qui soutient le miroire...Si on trouve l'accés de cette salle, on détiendra un pouvoir de vie et de mort sur tous les passagers... Il faut que nous en ayons le contrôle totale....et je compte sur toi pour le côté force de cette histoire....caresse un biceps de sa main chaude....D'ailleurs, ce serait p'tre bien qu'on ait un peu de renfort....une fois qu'on l'aura trouver bien sûr....parce que je tiens toujours mes promesses..."

Son sourire envoûtant réapparut sur ses lèvres pulpeuses. Elle attendait une réaction du grand black qui la dévorait du regard.

(En réponse à Mast : )
"Meth' ?"

Machinalement il jeta un coup d'oeil à Method, toujours auprès de Goldie. Leurs regards se croisèrent un bref instant, mais après des années passées à régler leurs affaires ensemble il n'en fallut pas plus à Joe pour comprendre le message de Method : il était sur un coup, et pas seulement dans le sens qui apparaissait clairement à tous. Pas le moment de laisser Mast tout faire foirer, il était déja heureux qu'il soit assez miope pour ne pas l'avoir vu.

"S'il est dans l'coin j'l'ai pas encore croisé."

Designant du menton Narcisse qui passait le sas avec Betelgueuse :
" Man, y a ta meneuse qui s'est trouvé un pote on dirait... Tu f'rais bien d'la suivre ou tu va encore te faire griller mon pauvre. Et tu d'vrais savoir que c'est moi qui fixe les parts, t'auras c'qui t'revient en temps voulu, mais pour l'instant le type en blanc a l'air blindé donc ça t'fait une raison d'plus pour les suivre..."

Tout allait bien trop vite pour lui. Il avait l'impression de se déplacer au ralenti alors que le reste du monde défilait en accéléré.
Ses vêtements le comprimaient et lui donnaient l'impression d'étouffer.
Son mal de crâne empirait, relancé par les cris de son estomac vide.
Et ces démangeaisons qui commençaient à le rendre dingue...
Il peina quelques secondes à retrouver le contrôle de ses pensées, et décida de s'exiler un instant. Juste une ou deux heures, le temps de faire le point.
Il opta pour les toilettes : sans eau, ce devait être la pièce la moins utilisée du vaisseau. Il y serait tranquille.
Il se dirigea d'un pas pesant vers la sortie.

Soudain un homme apparut au milieu de tout le monde...comme venu de nulle part...

les reserves de nourriture...bonne idée... cela dit il y en a que ça pourrait gêner...

Personne ne l'avait vu venir, mais il avait tout entendu...

Il restait la, immobile, attendant une quelconque réaction, avec un détachement impressionnant...

Pressant de plus en plus sa poitrine contre le buste de Meth', Goldie s'était mise sur la pointe des pieds afin de lui chuchoter son plan à l'oreille. Le black buvait ses paroles, mais il avait l'air d'être plus préoccupé par le contact physique qu'il entretenait avec la femme. Gardant toujours le contrôle, il ne manquait pas de l'écouter... et de la dévorer des yeux.
Alors qu'il analysait la situation, les idées défilaient dans sa tête comme au bon vieux temps où il était l'homme de main d'une organisation très peu recommandable. Décidément cette petite avait de la suite dans les idées! Pour lui, tout était clair sur la forme. Il avait l'habitude de ce genre d'opérations de routine, cela ne poserait pas de problème. Une seule question semblait se poser : mais où pouvait bien se trouver cette fichue entrée?
Meth' semblait avoir trouvé une solution. Il prit son air sérieux, celui de quand on lui propose une affaire bien menée, un taff à expédier, et exposa sommairement quelques grandes lignes à Goldie :

"Vala, tu m'dis qu'on a besoin d'bons bras! No soucy, de s'côté j'ai tout c'qu'il faut! Puis j'peux facilement m'démerder pour tripler le nombre, vu tous les potes qui trainent leur carcasse dans les parages.
Logistique, ok. Maintenant, sur l'fond. J'vois qu'une solution pour accéder à cette foutue pièce dont tu m'parles, le miroir. S'tu veux, j'y pète au travers, au moins ce s'ra réglé!"

Meth' ota son tee-shirt et l'enroula autour de son poing comme pour le protéger. Il était prêt à passer à l'action, chauffant ses muscles sous les mains de Goldie qui parcouraient ses abdos. Le reste, il le laissait à l'impro. C'est à ces moments-là qu'on peut discerner les vrais professionnels des voyous de quartier.

Le sourire de Goldie s'élargit...Parfait parfait....Laissant ses mains dessiner les pectoraux de son nouvel ami, elle lui fit signe de la tête que ce n'était pas une bonne solution.

"- Hummmm... Sans vouloir te vexer, Beau Gosse, je doute que tu puisses maîtriser...même avec tes potes...une aussi large ouverture que celle-ci... En plus, les moralisateurs sont encore dans cette pièce et vont s'empresser de nous faire un discours sur le devoir de partager avec plus faible que nous...*petite moue adorable* J'ai vraiment pas envie de gaspiller les rations pour des petites choses qui ne vont pas réussir à survivre plus d'une semaine sur cette fichue planéte. Mieux vaut que l'on investisse la place discrétement...Une fois, établis, ils ne pourront pas nous en déloger....
Pour l'entrée...Ca va être assez simple à trouver maintenant que l'on sait où est l'autre pièce par rapport au self... Il suffit de suivre le couloir et d'ouvrir les portes...Et puis, je suis sûre que si l'on disparait tous les deux, personne n'aura la puce à l'oreille....
Par contre, j'espère que ton chef n'aura rien contre d'être dirigé par une femme..."

Mast, voyant que Joe avait besoin de quelques temps de tranquillité, decida de se retirer.

" Bon, man... je vais te laisser tranquille puisque je vois que je te saoul ... je vais aller faire un tour par ici ... et puis, n'oublies pas de me donner ma part, je te lâcherais pas tant que tu ne me l'auras pas donner, capté... et d'ailleurs avec ou sans part, je vais pas te lâcher les baskets pour autant .... Rapelle toi, même un Boss a toujours besoin de plus petit que soi pour mener a bien ses affaires ... . Allé, check."


Mast s'éloigna de Joe et, en se retourant , mordilla sa chaîne en or. Il se demandait ce qu'il allait bien pouvoir faire a present.

" 'Tain , c est mort ici ... Y a que dalle ...Même pas de koi grayave, pas de bar, genre pour jouer au billiard ou au fléchette ... Eh ouais, ils savent tous pas que moi, j'suis un tueur au billiard, j'les baise tous .... Pas un seul qui me résiste , moi .... "


Mast se la péter grave et, s'apercevant que certains le regardaient méchamment, décida de se diriger vers la sortie. Il ouvrit alors la porte, prit le bord de la porte, tira la langue à tous les gens de la salle, même à son Boss qui avait le dos retourné, claqua la porte extremement fort et se mit à déguerpir le plus vite possible.

Dans le couloir