Devant l'entrée de plusieurs nacelles

Thorn était dans resté la capusle, perdu dans ses pensées.

L'autre idiot c'était encore enfui sans demander son reste. Il ne comprendrait jamais rien à rien. Il parlait de frères, mais moi qui suis orphelin j'ai j'amais eu autant de frère qu'à la légion.

Soudain apparait face à lui une forme de taille moyenne sur laquelle il lève les yeux, comme endormi par ses réfléxions.
La femme puisque s'en est une lui tend un papier tout en parlant, qu'il prend machinalement comme par réflexe.

Citation :

Alors? Je pensais y avoir droit à ma lecon! Mais je te previens, si tu n'es pas à la hauteur ca pourrait être douloureux pour toi....

Altaïr c'est son nom...QUOI ! La phrase !

Son bras gauche est litéralement propulsé comme un obus d'un canon. Son énorme main se referme sur la gorge de la jeune femme qui est dans le même temps entrainé dans la capsule. De son autre main Thorn pousse la porte de la cabine de moitié ne laissant qu'un étroit passage.
Son regard se fixe sur les yeux d'Altaïr, gris contre turquoise, acier contre glace. Toujours le bras tendu, mais la poigne d'acier commence à se resserer méchamment sur le cou qu'il ssent muclé sous ses doigts.

"Aucune n'a tenu la distance et tu oses me demander si moi je le peux"

La situation était plus floue. Ils avaient réussi à ouvrir la porte. T-Bone était parti sans dire merci, une femme nu était apparut pour aider à ouvrir la porte et quand cette derniere fut ouverte, la femme poussa tout le monde pour se présenter devant Thorn. Quand à Thorn, il prit la femme par le cou l'entrainant dans la Capsule en refermant la porte à demi. Une autre femme était venu pour ouvrir la porte puis était reparti après.

"Bon moi je vous laisses vous amusez. Je retourne à la salle commune en passant par le self."

La tête dans le vague Hakkai se dirrigea vers la porte.

au self.

Le danger s'insinuait par tous les pores de la peau humide de la jeune femme, mais cela l'excitait terriblement et le grand gaillard n'allait pas tarder à s'en rendre compte...Laissant la poigne d'acier se resserrer elle fit glisser ses mains le long du corps massif, laissant ses griffes effleurer la peau mate puis s'enfoncer dans la chair pantelante, Thorn tressaillit légèrement, visiblement surpris par la combativité de sa proie...

Il lui était difficile de parler dans une telle position, alors son regard de flamme se chargea d'exprimer ses sentiments... Féroce insoumission accompagnée d'un désir primal grandissant à chaque seconde. C'étaient deux terribles combattants qui se faisaient face dans l'espace confiné, et une telle confrontation ne pouvait être conventionnelle... L'homme était terriblement puissant, et dans un espace si confiné elle ne pourrait rien contre lui s'il décidait de la faire taire. Mais elle n'avait jamais été une proie facile, et si personne n'avait tenu la distance avec lui elle était loin d'être personne justement.

Le monde exterieur cessa brusquement d'exister lorsque sa main atteignit le cou de l'implacable guerrier, seul comptait l'affrontement qui était sur le point de débuter... Tout doucemenent elle entoura les muscles puissants de sa main, puis sans avertissement ses griffes acérées plongèrent avec frénésie dans la peau puis dans la chair, conjointement elle serra de toutes ses forces, insuffisantes pour étouffer son adversaire mais suffisantes pour qu'il ressente l'indomptable force de la jeune femme... Le regard de Thorn changea instantanément, la surprise dominait pour l'instant, pas pour longtemps...

Son autre main descendit prestement le long du corps tendu, atteignant avec extase et une avidité certaine l'entrejambe, effleurant la masculinité de l'homme. Elle murmura dans un râle son avertissement, d'une voix faible mais merveilleusement fière.

Tu me tiens... mais .... j'en ai autant .... à ton service...

Ses doigts se resserrerent brusquement autour des bourses de Thorn, provoquant un effet immédiat sur le géant... Elle aurait pu les aplatir mais au lieu de celà elle entama un torride ballet autour de la virilité qui commencait à se dresser irrépressiblement. Massant , saisissant, pressant... toujours avec force mais à laquelle se mêlait maintenant une douceur charnelle.
Pendant ce temps les ongles s'enfoncaient plus profondement dans le cou de l'homme, des stries rouges commencaient à apparaître sur son torse, traversant sa chemise...

L'effort violent qu'elle imposait à son bras, tendu à l'extrême et exhibant maintenant sa fine mais efficace musculature, finit par reveiller la blessure infligée par le MECH. Le sang vermeil coula, et se mêla intimement à celui de son sensuel adversaire avant que l'épais melange ne se repande sur le sol de la capsule... La vie se mélangeant ajoutait encore à l'état sauvage vers lequel tendait Altaïr, rêvant à la fois de tuer cet homme et de l'entrainer vers une jouissance dont il n'avait jamais ne serait-ce que rêvé...

Thorn ne quittait pas des yeux la tigresse.

Et dire que c'était dans cet endroit perdu de l'espace qu'il l'avait trouvé. Pas sur ! Tu n'en es pas encore sur !

La sensation entre ses cuisses n'était pas si agréable que ça, trop tot, beaucoup trop tot ma belle. C'était mécanique il le savait bien mais son sexe ne durcirait pas vraiment avec ses papouillages enfantin, il lui fallait plus, beaucoup plus, pour qu'il atteigne sa taille efficace, car tout était grand chez lui.
Elle pouvait serrer bien sur, mais lui aussi, et sa prise était plus mortelle.

Heureusement la jeune femme avait agréablement planté ses griffes dans son cou mais elle ne pouvait rien faire de plus ou ne voulait rien faire de plus pour l'instant.

"Tu ne tiendras pas la distance comme ça."Lui dit-il tout en souriant, avec ce sourire qui défigurait son visage, le rendant plus hideux encore.

Il serra plus fort le cou de la jeune femme, tout en pliant son bras pour qu'elle se rapproche de lui. Celle ci n'aurait plus beaucoup de temps pour essayer de se sortir de la terrible poigne, mais plus près de lui elle en aurait que plus de possibilités.

C'est aussi à ce moment qu'il s'aperçut qu'elle était nue, il approcha son autre main d'un mamelon bien dur, qu'il attrapa délicatement entre deux entre l'index et le majeur. D'une main la mort, de l'autre la vie.

Le sang sur le bras, d'Altaïr réveilla en Thorn un instinct primitif. Malgré les griffes dans son cou il pencha la tête pour arracher le tissus de ses dents et lêcha la blessure.

La mort... elle la sentait s'approcher à grands pas, son souffle devenait court et sa peau violacée, elle suffoquait... La poigne de Thorn était devenue encore plus dure que l'acier, la vérite s'imposa crûment à elle, si elle n'arrivait pas à se dégager il la tuerait... Ses ongles s'enfoncèrent d'avantage dans les muscles du cou mais sans résultat, elle n'était pas assez forte pour infliger une blessure grave de cette facon. Plusieurs coups portés au torse et au visage eurent aussi peu d'effet...

Les sensations s'amplifièrent soudain lorsque son têton fut empoigné par l'homme, démontrant une douceur diamétralement opposée à cette dureté qui allait lui coûter la vie... Mais elle ne s'attendait pas à ce qui vint ensuite, le contact furieux de la langue sur sa plaie ouverte éveilla en elle un mélange de terreur et d'extase que même une experte comme elle avait rarement connu... Une partie d'elle souhaitait qu'il continue à la possèder, à laper son liquide de vie, à la faire souffrir... Mais une autre ne rêvait que de l'abattre, qu'il voie la terrible puissance de celle qu'un homme avait nommée Altaïr "l'oiseau volant", en référence au fait que toutes les humiliations n'avaient jamais reussi à la maintenir soumise...

Elle était assez proche de lui maintenant, son cerveau privé d'oxygène était maintenant inutile, l'instinct de conservation prit alors le dessus. Sa main se plaqua contre le plexus et elle fit appel à la plus terrible de ses techniques, aussi définitive que foudroyante... Encore une fois les ondes d'énergie parcoururent son corps agonisant, aboutissant toutes à la paume de sa main... le voile tombait devant ses yeux, un seul coup... vivre ou mourir...

La main se soulève très légèrement, puis s'abat avec la vitesse de l'éclair contre le torse, libérant les ondes d'énergie emmagasinées dans la poitrine, .. l'entropie libérée se fraye un passage à travers les organes internes, faisant vibrer la cage thoracique comme un gigantesque angelus. Les vaisseaux se contractent puis se dilatent, les os plient sous le terrible effet de l'onde de choc... Personne au monde ne peut subir le "Din Mak" sans sourciller, même le colosse apparemment indestructible. La poigne se relâche enfin quelque peu, l'air s'engouffre dans ses poumons... Vie! Enfin...

Mais ce n'est pas fini... à sa grande surprise Thorn ne l'a pas totalement libérée, et semble recupèrer à toute allure... alors que ce coup aurait dû au moins lui donner un aller simple pour quelques heures d'inconscience. Elle doit agir maintenant, avant qu'il recupère suffisamment pour utiliser de nouveau sa poigne mortelle... mais où frapper quelqu'un qui a résisté au coup définitif?

La nudité de son corps lui fournit la réponse... elle est femme, et n'a qu'à utiliser la technique des femmes à travers les âges... Un sourire abominablement prédateur illumine son visage... une rapide prise d'élan et elle projette son genou directement dans les parties de Thorn. Son visage se retrouve alors tout contre le cou du combattant d'où le sang s'échappe toujours...

Tu t'es délecté de mon sang... maintenant essaye d'échapper au baiser vampirique...

Les canines de la louve s'enfoncèrent à l'endroit où ses griffes avaient déjà fait leur oeuvre... le goût ferreux envahit son organisme... le liquide tiède pénétra en elle, la rechauffant mieux que tout autre procédé. Bientôt la prise de Thorn prit fin, finalement, ce qui ne l'empêcha pas de continuer à se délecter de son sang pendant quelques longues secondes supplémentaires... Les trois attaques avaient finalement porté leurs fruits, elle avait réchappé au plus terrible affrontement de sa vie... Et incroyablement elle désirait encore plus... observant la reaction de son guerrier qu'elle désirait de plus en plus... son têton et sa blessure reclamaient plus, beaucoup plus...

Sensation de puissance si énivrante... Elle aspirait sa vie, ne voulait pas arrêter, pour rien au monde. Elle sentit la dureté de sa main contre sa nuque, mais il n'avait pas à la forcer, elle était dans un état d'excitation tel que rien ne pouvait plus l'empêcher de se repaïtre de lui... Elle brûlait devant sa force brute, sa violence, le danger qui émanait de lui sans interruption... Elle était à lui, mais lui aussi lui appartenait, son corps allait lui permettre d'atteindre une nouvelle fois le paradis... le symbole qui se dessina sur son visage aurait fait trembler n'importe quel habitué des bordels...

Il était terrible, indomptable... tout comme elle. Ils étaient en symbiose païenne. toute de violence et désir charnel... il avait résisté à un coup mortel, elle s'était libérée de sa mort, maintenant la vie allait les submerger totalement, seuls ceux qui ont senti la froideur de la mort jouissent totalement de la vie...


Enfin!
se borna t-elle à dire en voyant les autours gênants de Thorn glisser le long de ses cuisses, dévoilant une musculature puissante et en même temps si harmonieuse... Elle l'examina sans pudeur aucune, savourant la perspective de possèder ce monument d'énergie pure, de l'utiliser pour atteindre le paradis, et de lui donner l'extase suprême...

Son regard descendit avec avidité, rencontrant enfin la forme phallique du guerrier, quel choc... Majestueux, vibrant de vie, pointant vers elle, ne voulant qu'elle... Immense comme un séquoia de l'ancienne terre, elle le veut immédiatement, en elle, pour elle, un rugissement se fait entendre alors que la louve se mue en tigresse, brûlante et mortelle...

L'action de l'homme sur son têton arrive pourtant à encore faire croître une excitation qui emporte tout, brisant les barrières de la retenue que les hommes s'imposent... La langue moelleuse s'opposait de facon si torride au tranchant des dents, la sensualité se mêlait si intimement à la douleur à mesure que son homme pressait l'extremité rose, elle bascula sa tête en arrière, s'abandonnant aux sensations, douloureusement tendres...

Elle convoitait, esperait... les limites du plaisir n'existaient plus... Son doigt agile glissa jusqu'à son entrejambe, constatant avec délice que sa toison brune était déjà trempée, tiède, fremissante dans l'attente de l'arrivée de l'homme en elle... Le doux gemissement se prolongea, tandis qu'elle se caressait avec force, les lèvres firent connaissance avec le tranchant de ses ongles, sa feminité fût explorée avec frénésie, alors que son partenaire faisait découvrir à son sein des sphères insoupçonnées de sensations intenses...

Son autre main, inutilement inactive, assouvit bientôt son rêve de l'instant, attrapant la virilité du combattant, explorant sa forme, de bas en haut... Les doigts tâterent, palpèrent toute sa surface, attentifs aux sensations éveillées en l'autre... Son rêve se mua en terrifiant instinct de possession, ses dernières inhibitions se levèrent, elle était possédée par le demon du plaisir, le fauve crevait de désir... Une nouvelle morsure à la base du cou, le sang envahit une nouvelle fois sa bouche, puis elle se plongea dans la blessure de son bras, concluant le pacte de sang, les gôuts se mélangèrent intimement dans sa bouche... Enfin elle repoussa violemment Thorn de son coude, saisit ses fesses et y enfonca ses ongles, elle le regarda de ses yeux océan, lui sourit vénéneusement avant de porter sa bouche ensanglantée vers son phallus...

La langue glissa le long de l'organe, tîtilla l'extremité de l'urètre, enserra la hampe frémissante... incroyablement agile elle s'insinuait dans tout espace, tout interstice, une main abandonnant le dos de Thorn saisit vigoureusement ses bourses, avant qu'elles ne soient prises en bouche et délicatement massés par sa langue, elle le fixe toujours dans les yeux...
Cercles, à l'infini... la langue parcourt la colonne turgescente sans repit, tournant, encore et encore... Enfin la belle effectue l'acte ultime, elle engloutit le sexe qui envahit totalement sa bouche, colossal... l'enfoncant profondement sans oublier sa langue toujours en mouvement...

Aucune femelle avant-elle n'avait peu prendre ainsi sa virilité. Cette situation le mit un instant très mal à l'aise, cette faiblesse était insupportable, il fallait réagir, briser la nuque de cette tigresse effronté, pulvériser son corps brulant, broyer ses os sous ses poings, mordre sa chair tendre pour s'en délecter, avant que le danger ne soit trop grand.

Les grandes mains descendirent le long du corps souple et musclé de la jeune femme, qui était palpée et explorée. Thorn voulait sentir se corps. Son dos était musclé harmonieusement, souple, allongé mais puissant, comme une chasseresse. Il pencha son grand buste pour poursuivre sa route. Une de ses mains s'attarda sur un sein, qu'il caressa doucement. Ferme et consistant, le bout durcit, il joua délicatement du doigt dessus, comme pour activer un nouveau jouet. Son autre main continua son exploration par les lombaires, caressant les deux barres solides qu'il trouva tendues comme un arc, la paume de sa main frotta la colonne vertébrale entre les deux muscles puis elle appuya dessus, lentement mais inexorablement.

Sens-tu que je peux te briser l'échine ma terrible tigresse, pendant que tu te repais de moi. Tu resterais pantelante à mes pieds. Comme une proie que j’aurai attrapée, prête à être dévorée.

La réaction ne se fit pas tarder à sentir. Pendant qu’elle se cambrait pour soulever une croupe frémissante d’envie. Une bouche experte aux lèvres actives, une langue agile et même des dents se firent sentir plus prestement tout autour de la grande créature maintenant au comble de sa taille.

Thorn abandonna les lombaires, il était tout à la découverte de cette tigresse. Sa main caressa les fesses rebondit chacune à part égale, puis il serra la fesse droite dans sa main, quand la langue effronté passa sur le frein du prépuce. L’exploration continua avec son majeur qui passa sur l’anus et se dirigea vers une fleur bien caché, mouillée de rosé.

Soudain sa main attrapa la fermement cuisse de la tigresse enragée, il la souleva lentement d’un bras, pour que son ouvrage ne soit pas interrompu. Elle décolla du sol et il l’attrapa alors de l’autre main à la taille, lui faisant faire un demi-tour parfait. La tête en bas, tout en continuant son va et vient mortel, elle passa ses jambes autour du buste du tigre qui eu ainsi à porte de bouche et de dents une fleur capiteuse qu’il attaqua sans coup férir. Ses lèvres et sa langue cueillirent le suc sucré qui était offert à son appétit. Les coups de langues n’étaient pas moins habiles pour faire tressaillir l’impudente qui pareillement envoyait des frissons dans les reins du colosse. Il cherchait maladroitement un déclencheur quelconque qui lui aurait donné la suprématie dans ce combat titanesque. Il le trouva par hasard, quand sa langue, trouva un petit bouton non éclot, à coté des pétales maintenant bien humide. Il le sut car il sentit les dents de la prédatrice s’attaquer à pénis. Mais pensant avoir la victoire à sa portée, il recommença encore et encore, il voulait l’entendre feuler.

Tendue à l'extrême et embrasée, voilà l'état de Altaïr à la suite du changement de position imposé par Thorn, elle résista de ses ongles labourant les cuisses... puis de sa bouche, enserrant le penis merveilleusement tendu, malgrè tout elle finit par cèder, toute à sa tâche.
Elle se retrouva au-dessus de l'organe d'amour, qui pénétra du coup encore plus en elle, raclant le fond de sa gorge, mais elle aimait diablement ça...

Prenant appui sur les hanches de Thorn elle se releva, et comme mûe par un pressentiment repoussa le bas de son corps vers le visage de l'autre, l'enjoignant à explorer son intimité, elle ne fût pas deçue... Bientôt l'appendice bucal de son amant la pénétra, humide, tiède, décidé... Alors elle cessa un instant l'exploration du mât de désir pour le laisser montrer ce dont il était capable, sans cesser de presser ses lèvres contre lui elle le fit glisser hors de sa bouche, les muscles de la mâchoire se relâcherent enfin.

Pendant un bref instant elle abandonna totalement sa feminité aux assauts experts du guerrier, qui effeuillait son bouton de rose de manière terriblement explicite, mais elle n'avait jamais été une passive...
Le gland tendu au-dessus d'elle semblait l'appeler désespéré, ne se satisfaisant pas des caresses précédentes; elle sourit, le fixa... amoureuse de sa forme élancée, de la vie qui coulait en lui. Cette fois plus de préliminaires, la langue se cala parfaitement autour de la couronne et le sexe glissa lentement entre ses dents, qu'elle faisait érafler la surface mauve... Pendant le processus la langue tournoyait, de plus en plus vite, caressant l'intégralité de cet organe qu'elle voulait plus que tout, pour une fois les dents étaient véritablement de la partie, elle avait senti que le géant l'appréciait particulièrement...

Pendant ce temps ses reins lui procuraient des élancements vigoureux, l'homme avait trouvé une zone sensible et insistait... Son arrière-train commenca à accompagner le ballet buccal, ondulant, pivotant en resonance avec les caresses intimes, reculant ou avancant pour le forcer à ajuster sa position... ce n'était pas une femme facile après tout. Elle n'oubliait pas pour autant son travail entamé, redoublant de vitesse avec sa langue, tout en ralentissant à l'extrême le mouvement de glissade, il allait en avoir pour son argent... elle sentait qu'il concevait l'acte comme un combat, gagné par celui qui éveillerait la plus grande jouissance chez l'autre, mais elle ne perdrait pas.

Ses pieds abandonnèrent le torse pour tâter le visage de Thorn, puis les orteils saisirent avec une stupefiante agilité ses têtons, massant et griffant... Elle sentait qu'il ne pourrait tenir beaucoup plus longtemps et cela la fit presque jouir spontanément... Le double hémicycle de ses lèvres était pratiquement parvenu à la base de la colonne vibrante, les poils pubiens s'immiscaient dans les interstices de ses dents. Elle augmenta subitement la pression de ses dents, ce qui fit fremir l'homme... Si elle le voulait cet instant de désir serait son dernier, s'achevant par une cascade de liquide, mais pas celui qu'il imaginait... Je te tiens maintenant...

Incandescente, elle se redressa fièrement, ses muscles luisants contractés à l'extrême, d'une beauté litteralement surhumaine, d'une feminité que l'on ne croise qu'une fois dans une vie... Elle lâcha prise, son soutien... Sa gorge s'empala litteralement sur la verge, l'arbre noueux allait faire exploser sa trachée, mais elle ne se laissa pas faire, elle était sur le point de le faire cèder... Basculant sa tête en arrière elle fit comme si elle allait avaler le monstre, et cela fonctionna: il prit place en elle, l'empêchant de respirer mais elle n'attendait que ça... Maintenant tu as perdu...

Ses joues se creusèrent, sa salive fut brutalement chassée de la caverne... Et elle sentit un autre liquide monter pour la remplacer... Elle l'attirait à lui, créant une profonde dépression dans sa gorge, il arrivait, allait s'écouler en elle... MAINTENANT!

Le geste fut si soudain que le géant ne le comprit sans doute pas immédiatement. En un éclair Altaïr avait bouché le canal de l'urêtre avec son index, et le fleuve qui tentait de se déchaîner fut instantanément bloqué, elle imaginait très bien la sensation qui allait bientôt rendre Thorn litteralement fou... Elle reprit alors son ballet de langue, excitant encore et encore l'organe, sachant que malgré son excitation l'homme était impuissant, elle le tenait... s'il jouissait c'était parce qu'elle l'aurait décidé...


Tu as perdu...

Elle contorsionna la tête pour le fixer, puis porta de nouveau son regard vers le pénis... Il ignorait ce qu'elle allait faire, et c'était pour ca que le jeu du plaisir s'était achevé... Après un instant passé à savourer elle engloutit de nouveau le sexe massif, et relâcha enfin la pression...

Il est dangereux de rendre furieux Thorn, car c’est la mort au bout de la route. Mais il est vrai qu’il ne connaissait rien à ses choses qu’Altaïr avait déclenché en lui et la frustration en fut d’autant plus forte. Il n’avait plus envie de jouer. Car si son sexe perdait de sa vigueur, sa colère n’en était que plus grande

Il croisa ses bras et lui attrapa la poitrine, les mains juste sous les seins, pour pouvoir la retourner et quand elle eu reprit sa positon verticale, ses deux mains se rapprochèrent l’une vers l’autre pour écraser la cage thoracique de la tigresse. Inexorablement la pression s’exerça, comme une énorme presse hydraulique, impossible de résister il fallait plier, souffler et chasser l’air pour ne pas rompre. Les yeux d’acier contre les yeux de glace. Frapper était inutile mais elle le fit quand même, la survie prenant le dessus. Un coup de tibia dans les côtes qui ne le fit même pas sursauté, des mains qui cherchaient à griffer les yeux, à pénétrer dans le cou, qu’il n’évita même pas.
Soudain aussi subitement qu’il avait serré, Thorn relâcha entièrement la pression, la jeune femme se retrouva au sol. Mais ce n’était pas tout, il plia sur sa jambe droite et à son tour il balança son tibia, il visait suffisamment bas pour qu’elle ne puisse pas esquiver par manque de place. Mais la jeune femme avait les ressources suffisantes pour s’en sortir face à ce coup puissant mais très simple. Elle sauta en arrière comme un félin, d’un bond souple, et se retrouva accroupit sur le siège de survie.
Thorn eut un sourire mauvais, elle était où il voulait qu’elle soit. Il l’attaqua à nouveau avec les mains, utilisant les techniques du Kung Fu, la mante religieuse, le singe, le serpent, par manque de place c’était le plus efficace dans la capsule. Altaïr, par des mouvements quasi identiques cherchait à tout prix à se dégager, elle bougeait son corps admirablement bien pour se soustraire au pilonnage intensif, car le glacial géant augmenta la cadence des coups.

Altaïr pensait surement à la mort qui s’approchait inexorablement, les coups étaient de plus en plus rapides et les bras du tigre devenaient aussi durs que de l’acier, il avait retrouvé une puissance dévastatrice, elle comprenait maintenant pourquoi le MECH 8 était un joujou d’enfant pour lui. Malgré sa souplesse, elle avait de plus en plus de mal à éviter les attaques, c’était un jeu où c’était lui le maitre. Il était trop tard quand elle comprit son erreur, elle avait laissé une porte ouverte, dans laquelle la main gauche de Thorn s’engouffra, avec une vitesse et une précision diabolique, en un fragment de seconde elle se vit cracher le sang, la poitrine défoncé par le coup, éclaté par l’énergie interne.

Mais l’énorme main se contenta de se poser sur sa poitrine, la paume sur le sternum, les doigts dessus son seins droit, dans le même mouvement il attrapa le téton toujours aussi dur, entre le majeur et l’index et serra violemment, puis il ramena sa main vers lui, en entrainant la femme, comme dans un mouvement de chi gong.
Sans lâcher le mamelon, de son autre main de libre, il passa sous son bras gauche, lui attrapant les cheveux dans une poigne qui lui fit pencher la tête en arrière, la gorge offerte.

Thorn sourit à nouveau, il allait pouvoir goûter à sa chair. Il plongea sa bouche sur ses lèvres qui goba goulument, attendant d’elle une profonde insoumission, il lui relâcha les cheveux pour qu’elle soit plus libre de ses mouvements et pendant se temps sa main descendit encore une fois vers une zone rebondit qui n’attendait qu’à être attraper. Sa grosse main s’en donna à cœur joie, manipulant une fesse puis l’autre, les pressant alternativement, les griffant, pendant que sa bouche était dévorée par la terrible femelle qu’il tenait dans ses bras.
Il termina son exploration en caressant à nouveau les portes fermés de sont anus ce qui fit tressaillir la brulante créature, puis massa d’un doigt puissant le périnée, exactement sur le point vital, à la fois menaçant et voluptueux, présageant une suite encore non écrite.

Le match n'était pas fini mais chacun pensait avoir gagner.

Les deux prédateurs s'étaient plus que jaugé, ils se connaisssaient maintenant plus intimement que beaucoup de personnes qui vivaient en couple depuis des années.
Pendant la lutte il avait arracher la plastie peau qui cachait son tatouage sur son pectoral gauche.
Elle garderait pendant plusieurs jours les marques bleu et jaune autour du cou. Se dit-il tout en passant son doigt sur les profondes entailles du sien.
Un sourire apparu sur son visage glacial, le rendant encore plus laid et effrayant. Ses sentiments étaient confus, lui qui d'habitude n'en avait pas.

Le Balais mortel, le jeux sensuel et pervers, les coups et les plaisirs, tout c'était emmelé pendant plusieurs heures. Aucun des deux n'avaient flanché, ni montré ne faiblesse.
Elle avait tenu la distance et même plus que ça. C'était la première fois qu'il avait atteint cet état de bien être. Et surtout c'était la seule femme encore en vie après avoir voulu faire du sexe avec lui.
Il n'était pas particulièrement réceptif à la sexualité et les rares femmes qui avaient cru pouvoir le faire avec lui, avaient toutes été tué, le cou brisé, la cage thoracique défoncé, les organes inernes explosés. Cinq en tout, et les deux dernières ensemble sur la lune. Et dire que c'était des Marines.

Il ne savait pas ce qu'Altaïr pouvait penser, elle le regardait avec ses yeux fabuleux, froide tueuse, sa langue se lêchant les lèvres toujours perverse et tentatrice.
Tient se dit-il encore, je vais rebander.

Chacun attrapa ses vetêments sans quitter l'autre du regard. Les deux félins toujours au aguet.
Il commençait à avoir faim, et surement elle aussi, quand il entendit le haut parleur.
[quote=Colonel Irus]
"évacuez les nacelles et la salle d'embarquement !"[/quote]

"Quel âne se pilote ! Depuis quand on vire des capsules avant de rentrer dans l'atmosphère, c'est contre toute les règles de sécurité. Merde il veut notre mort ce con."

Il se pencha et lança son grand gras gauche autour de la taille de guêpe d'Altaïr et l'attira vers lui. Comme une liane carnivore elle enroula ses menbres autour de sa taille et son buste, de son autre main il attrapa la porte demi ouverte et tira, la porte grinça en avançant doucement, les muscle était tendu, la plaie du cou suinta mais pour finir elle fini par s'ouvrir.

Thorn se propulsa à l'extérieur et courut vers le panneau de controle général des capsules. Altaïr sauta à terre tout en regardant ce que Thorn manigançait. Sentant son regard il répondit.

"Je déconnecte le controle du pilote pour passer en manuel, si le vaisseau ne peut pas atterrir, les capsules sont le seul moyen d'arriver sur Pandora, les ejecter nous fait tous courrir un danger mortel. Mais si besoin on pourra le faire d'ici manuellement."

Il se souvenait de la procédure, tourna la clé sur le panneau, composa le code habituel 0000, enclencha les différents boutons. Puis il enleva la clé qu'il mit dans la poche de son pantalon.

"Tu as faim ? Si on allait manger ?"

Self

Alors qu'ils entraient dans la zone d'embarquement, Thorn Tiger quittait la pièce. Ils le regardèrent s'éloigner dans la coursive, puis considérèrent les capsules.
- Bon... c'est parti.
Il prit une capsule au hasard et entra à l'intérieur. Après une bonne minute de recherche active, il n'avait toujours rien trouvé.
- Je ne les trouve pas, cria-t-il à l'intention de Slobodan. Peut-être ces capsules n'en sont-elles pas équipées ?!

*On fait vraiment une grosse connerie j'en suis certain*

Les pensées de Slobodan restaient fixées sur l'optique de l'accident. Si jamais cette face d'immoculata vertebra (bactérie très repoussante connue de tout bon bactériologue )de pilote commettait la moindre petite bourde, qu'allaient-ils devenir ? Comment les passagers allaient-ils s'en sortir ? Comment lui, Slobodan pourrait-il rester en vie ?
Toutes ces questions trottaient dans sa tête mais chaque occasion de renoncer étaient fauchées par une des paroles de Thomas...Cet homme semblait sûr de lui.

"Vous avez regardé partout vous êtes sûr ? Il doit y avoir des compartiments escamotables dans chaque capsules...Sinon, il est à craindre que quelqu'un nous ait devancé et ai tout piqué...
C'est impossible, il y a trop de capsules, plusieurs personnes ensembles mettraient des heures à tout piller. Il doit forcément en rester. Cherchons encore."

Il ne s'imaginait pas tenir un mois sans rien à se mettre sous la dent. Et à boire aussi. Ils pouvaient tenir une vingtaine de jours sans manger mais le manque d'eau était fatal en à peine deux ou trois jours.
Il regardait Thomas se remettre à la tâche... Cet homme semblait taillé pour le travail en labo, il aurait fait un parfait virologue se dit Slobodan, le sourir aux lèvres.

Ne voulant pas se tourner les pouces alors que Thomas s'acharnait, il se mit à visiter une capsule prise au hasard.
Puis tout en fouillant la capsule, il s'addressa à Thomas :

"C'est drôle, mais votre nom me rappelle celui d'un ancien collègue qui a collaboré un temps très bref avec nous. Vous savez que vous avez un homonyme ? Vous croyez que vous êtes apparentés à un Thomas David scientifique ? La coïncidence serait étonnante."

Alastor debarque alors que les 2 protagonistes ont le dos tourné. Ilm dis avec un leger sourire

Je vous derange?
leger sursaut des deux hommes
On dirait bien que nous avons la meme idée Proffeseur Slobodan

"Je vous derange?"

La question fait sursauter Slobodan, il ne s'attendant pas à ce que quelqu'un entre. Petits battements rapide dans la zone du coeur. La surprise passée, il saute en dehors de la capsule, et vient serrer la main d'Alastor.

"Professeur... Ainsi donc nous nous recroisons...c'est heureux." La venue d'Alastor enchantait Slobodan mais avait interrompu le dialogue avec Thomas.

"Comme vous le voyez nous sommes effectivement à la recherche de nourriture et Thomas a eut la bonne idée de prendre les rations de survie des nacelles de sauvetage. Malheureusement, jusque là, nos recherches ont été infructueuses, soit quelqu'un a déjà tout prit, soit elles sont bien planquées. Mais on ne desespère pas. C'est çà ou des morceaux de rats...choisissez..."

Il se figea à l'annonce de Slobodan. Il n'y avait aucune chance pour qu'il s'agisse du même Thomas David bien entendu. Et pourtant... Alors qu'il s'apprêtait à répondre quelque chose d'une voix chancelante pour gagner du temps, un homme les interrompit de façon plus qu'opportune. Alors que ses doigts restaient crispés sur la cloison et que son regard se perdait dans le vide, il reprit légèrement ses esprits. Suffisamment pour sortir de la capsule et serrer la main d'Alastor Tedunis qui l'avait bien malgré lui tiré d'un mauvais pas. Il s'avança vers lui et lui tendit un bras un peu tremblant. Son coeur semblait vouloir sortir de sa poitrine.
- Je ne crois pas vous connaître ? s'écria-t-il d'une voix cassée par l'émotion qu'il avait du mal à contenir.
Il allait poursuivre en se présentant, mais se ravisa : c'était là une trop belle occasion de reprendre la conversation où elle en était resté une seconde plus tôt.

Il lui avait dis de l'appelez alastor, mais Slobodan n'avait pas vu l'humour de Tedunis...
thomas david a ce qu'il avait cru entendre parraissait etre nerveu et ne pas le connaitre, politesse surment vu le personnage car tout savant quio se respecte le connais...

Je suis Alastor Tedunis, humble biologiste et vous?
Slobodan je crois que nous sommes encore sur la meme longueur d'onde!

Il n'avait jamais vu l'homme devant lui, mais Slobodan semblait lui porter une certaine admiration et l'avait appelé "professeur". Il se sentait sur un terrain glissant avec deux éminents scientifiques en face de lui.
- Thomas David. Appelez-moi Thomas, proposa-t-il.
Suivit un moment d'incertitude : il attendait vraisemblablement qu'il l'informe de son métier, s'étant lui-même présenté comme biologiste. Un instant, l'orgueil l'emporta sur la raison : il pouvait être quelqu'un de mieux. Quelqu'un qui n'aurait pas à avoir honte de se trouver devant autant de matière grise.
- Médecin, ajouta-t-il.
Grisé par la situation, la peur se mêlant à l'excitation, le tout enveloppé du stress qui s'était accumulé ces derniers jours, il surenchérit.
- Je faisais de la recherche dans un laboratoire de New York. Le Gamerson Institute, vous connaissez ?
Il en avait trop dit, bien entendu, mais ce n'est que lorsqu'il s'aperçut qu'il n'avait jamais réellement su ce qui se faisait dans cette clinique qu'il réalisa qu'il était sans doute allé trop loin. Bien sûr, c'était un petit laboratoire... aucune chance pour que l'un d'eux connaisse, mais Slobodan avait parlé d'un homonyme. Il lui jeta en coin un rapide coup d'oeil inquiet, horrifié intérieurement par le commentaire qu'il pourrait faire.

HRP: Je me délecte

Alastor venait de prouver une fois de plus que les grands esprits s'attiraient comme les deux faces d'un aimant. Les trois hommes, aussi diplomés qu'imbus d'eux-mêmes croyaient avoir été les seuls à avoir eut la présence d'esprit de fouiller les capsules. Mais s'il ne se remettaient pas au travail promptement, ils ne trouveraient jamais ce pourquoi ils étaient venus avant qu'un accident ne survienne.

"Oui professeur, nous somme apparement à la même fréquence."

Si la situation n'avait été aussi critique, les trois hommes auraient certainement dévié la conversations vers un sujet tout autre, digne de grands scientifiques, en un mot : soporifique.

Thomas se présenta à Alastor, sembla hésiter quelques instants à croire que comme tout gamin prépubère, il choisissait le métier qui lui convenait.

Aucun "pompier", "astronaute" ou "comme papa" ne fut prononcé, un simple médecin suffit à Alastor, Slobodan ne fut pas intrigué outre-mesure, il l'avait déjà vu à l'oeuvre. Mais quand Thomas, qui semblait plus en confiance, précisa le nom de l'entreprise dans laquelle il travaillait, ce fut le déclic pour lui...

"Gamerson Institute...Gamerson Institute...Mais oui, voila...c'est çà. Je cherchais le nom...c'est bien vous...Thomas David, le généticien qui a créé la base de donnée de mon programme. J'en était sûr, j'avais des doutes mais maintenant vous m'en apportez la confirmation."

Slobodan était aux anges. Le hasard faisait si bien les choses. S’il n’avait jamais embarqué sur ce shuttle dans les raisons que seuls quelques rares connaissent, il n’aurait jamais eu l’occasion de retrouver deux de ses confrères si talentueux. Et tous les trois partaient pour une planète vierge de colonisation où ils pourraient reprendre ce qu’ils avaient laissé loin derrière eux, sur Terre.

Il s’était totalement accaparé Thomas, le submergeant de questions, lui demandant la raison de sa venue sur ce shuttle, les motivations qu’il avait pour partir, toutes les questions qui en quelques jours étaient devenues pour tous les passagers, aussi courantes qu’un simple… "çà va ?".

"Ah ah, je savais, je savais"…

Slobodan ne chercha même pas à attendre les réponses à ses questions, il se retourna vers les capsules et rejoignît la plus proches en sautillant.

"Je le savais, je le savais… "

Arrivé devant la porte de la capsule, il se retourna vers les deux hommes ahuris et reprit son sérieux.

"Allons messieurs, il faut se remettre à la recherche de rations, notre vie en dépend on pensera après à s’amuser. Allons-y."

-Slobodan? je croyais vous avoir dis de m'apeller Alastor,non? Toujours est-il que Vous pouvez aussi m'appelez Alastor, Thomas
-Medecin etes-vous? generaliste? Chirurgien? Pediatre?
La mention du garmerson institute le laisse froid, mais est-ce une aparence ou la realité? Lui seul le sait! Mais il est avide de connaitre la reponse de Thomas.
Amusée par Slobodan qui etait au anges et sautillais comme un petit fou, Il vit celui redevenir grave.
-Oui, le temps nous presse mais avant pourquoi l'homme qui vient de sortir etais-ils aux anges et tapotais-il sa poche d'un air satisfait?

La question l'Alastor ne le mit pas dans l'embarras comme il l'était une seconde auparavant. Harcelé par les questions de Slobodan, il avait les éléments nécessaires à la continuation de son mensonge.
- Généticien, comme l'a dit Slobodan, affirma-t-il d'une voix posée ; du moins qui se voulait telle.
Il s'enfonçait, bien sûr. Un mensonge en entraînant un autre plus gros que le précédent. Jusqu'à ce que le tout devienne si énorme qu'on ne puisse plus le dissimuler qu'en passant aux actes, de plus en plus catastrophiques à leur tour, de plus en plus importants pour camoufler l'ampleur du précédent. Il considérait sa situation avec un fatalisme désespéré.
Il profita de ce qu'Alastor partait dans une autre direction pour se sortir de cette situation gênante.
- Ne vous en faites pas. Ici, presque tous ont une mine de comploteur ; mais je doute qu'il y ait une véritable raison de s'alarmer. Chacun d'entre eux est aussi perdu et apeuré que nous le sommes tous. (Il haussa les épaules). Chacun sa manière de se rassurer. Retournons à la recherche de ces rations. Nous ne tiendrons pas le reste du voyage sans cela.
Il se dirigea vers une nouvelle capsule de sauvetage, qu'il entreprit de fouiller avec minutie, ne serait-ce que pour ne plus penser à ce qui venait de se passer.

Après plusieurs minutes de recherches, Slobodan n'avait trouvé aucun élément digne d'être consommé. La capsule avait été retournée, le panneau de bord démonté mais rien, rien ne dissimulait les rations promises. Slobodan commençait à lacérer la doublure du siège, espérant y trouver des rotis de veaux en barre. La seule idée de ce trésor lui amenait l'eau à la bouche, le faisait baver, il se délectait de ce qui pour le moment n'était que vent.
La mousse de l'assise lui collait au visage par electro-statique mais il s'en moquait éperdument, il avait vraiment faim.

"Pardon professeur"...la voix était étouffées par la cloison de la capsule et la mousse qui lui chatouillait les narines..."Je veux dire Alastor. Je n'ai pas l'habitude d'appeller mes mentor par leur prénom. Mais oui voyons, Thomas est généticien, on s'est servit d'une de ses souches pour mettre au point une nouvelle forme de bactérie pour la cryogénisation. cà ne représentait pas une grosse part de notre travail, c'est sûr, mais çà nous a fait avancer."

"Au fait Thomas, comment va Votre femme, c'est Virginie son prénom si je me rappelle bien ? Je me trompe ? Il faut dire que la dernière fois que j'ai eut l'occasion de la voir, se fut assez rapide, elle venait de sortir de la maternité, et... en parlant de çà...je n'ai jamais sut...c'est un garçon ou une fille ?" Slobodan posa la question, le sourir jusqu'aux oreilles...Bien sûr après tant d'années, cela pouvait sembler ridicule mais il n'y voyait pas d'inconvénients, il voulait savoir des autres, ce qu'il n'avait jamais réussit à avoir.
"Vous allez trouver la question bête, votre enfant doit être grand maintenant mais après votre départ je n'ai jamais eut l'occasion de vous demander. Alors dites-moi...Vous avez une photo d'eux ?"

il etait rentré dans une cabine et Lui au lieu de S'embeter a chercher les endroit les plus incongrus se posa la question:
Si je devais metre des ration de survie ou les metrais-je?
Problematique, Hypothese, Experimentation, Conclusion
Il raisonait comme un scientifique et non comme le cytoien Lambda mais entre 2 verification il dis
Bah mon cher Slobodan vous savez pour moi, geneticien et medecin c'est loin
Neantmoin je vous déconseille de parler de Famille vous savez apres tout il ne sont pas encore reveillé murmure audible uniquement a slobodan ou pire pas monté
A thomas, vous etes une des sources de notre labeur? Merci a vous! la criogenisation aurait ete impossible sans votre base de donné! Quand je pense que les journalistes m'appellent Pere de la criogenisation sa me fais bien rire ils ne savent rien!

il reprend ses investigations,
Hypothese:des rations sous les fauteils?
Experimentation: regarde sous les fauteils
observation: rien mouton de poussiere+ trape
Conclusion: Rien a manger, affination de l'hypothese
Hypothese:dans la trappe?
Experimentation:ouvre la trappe
Observation+conclusion:de la nourriture! En sachet liophilisé et une sorte de cryo-glaciere! La nouriture est dans une trappe sous les sieges

Sort joyeusement de sa capsule et dis
j'ai trouvé!
Refroidit par l'acte de Slobodan
Vous savez Slobodan sa m'etonnerai que se sois sous le cuir du siege!

Le fauteuil dépioté ne ressemblait plus à rien... absolument rien ne se planquait là-dessous. D'une certaine manière cela semblait absolument logique mais la faim semblait avoir dilué toute notion de logique en Slobodan.

"Putain mais elles sont où ces saletés de rations..."

La double cloison... c'est forcément là que se cachait la bouffe, il y croyait mordicus. Tel un prédateur sur sa proie, les yeux de Slobodan se tournèrent lentement vers la partie la plus apte à servir de cachette, la bave au lèvres.

"j'ai trouvé!"

Alastor sortit de sa capsule si rapidement qu'il faillit être déséquilibré. La cloison y avat échappé de peu.
Alors qu'Alastor lui montra où il avait déniché son trésor, il remarqua qu'aucun son ne provenait de la capsule de Thomas.

"Peut-être ai-je été trop indiscret dans mes questions ?"
Slobodan commençà à éprouver quelques remords. Il ne voulait pas blesser les gens. Iln'avait pas pensé à ces aspects, pour lui, candide comme il était, tout allait bien et tout le monde (à part lui) était là de façon volontaire.

"Je vous demande pardon Thomas, j'ai été un peu abrupte dans mes questions, je...je..."

Il ne trouvait pas les mots, il avait rarement blessé quelqu'un au point de devoir s'en excuser par la suite.

"...Pardon."

Et tout penaud, il se retourna vers la capsule, trouva la trappe, délivra les rations de leur sarcophage métallique, arracha le plastique et se jeta sur les épinard lyophilisés qu'il trouva...
Insipide mais mangeable...Il se baffra de rations de deux capsules avant d'être reput.

"Alastor vous m'avez sauvé la vie. Maintenant, je crois que je vais faire la sieste."